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Vieux 07/10/2013, 22h37
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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Fletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermind
Panini Avengers universe 4

AVENGERS UNIVERSE 4

Avengers Assemble #13 (DeConnick / Woods, Bagley / Hanna)
A lecture du numéro précédent le mois dernier je m'étais dit que l'on ne pouvait pas tomber plus bas. Et bien si ! La suite est encore pire. Je ne comprends pas où est l'histoire des Avengers. Le scénario est tout simplement nul. Aucune tension dramatique, du réchauffé et pas d'humour car si j'ai rit c'est uniquement de tristesse devant Natasha transformé en Lézard. Woods lui aussi se surpasse en nous proposant un double combo : prestation encore plus médiocre que le mois dernier + pas capable de finir. Il laisse donc sa place à Mark Bagley qui n'arrive pas à suivre (il dessine également les 4 FF). Mais je ne lui en veut pas sur ce coup là il a fait ce qu'il a pu pour sauver les apparences. Mention spéciale à la représentation de Hawkeye. Heureusement que le mec il a un arc et un costume tirant sur le violet car sinon je ne le reconnais pas. Marvel, Disney et Bendis n'ont pas rendu service au médium en sortant cette série. DeConnick sait et doit mieux faire.

Avengers Assemble Annual #1 (Gage / Cocker, Mayhew, Deodato, Ross, De Landro)
Ce qui m'a plut dans cet annual en premier lieu c'est le fait d'avoir réellement eu l'impression de lire les Avengers que j'aime c'est à dire ceux avant Bendis et Hickman. Le casting convoqué par Gage a fait vibrer le fan boy en moi. Ensuite le tram de l'histoire centré sur la Vision a ajouté une un corde à l'arc de la nostalgie. Enfin c'est bien globalement bien raconté avec un style graphique (Cocker essentiellement les autres étant noyé dans la masse voir méconnaissables) intéressant. J'ai trouvé touchant de remettre Vision est ses interrogations vis à vis de son statut d'Androide et de sa place dans l'équipe au centre du débat. Le meilleur passage reste pour moi les balbutiements de Hank Pym et Tony Stark à la question : pourquoi vous ne m'avez pas de suite reconstruit après ma destruction par Miss Hulk. A travers la Vision c'est le fan boy et Gage qui s'exprime. Il fut une époque où chaque piliers de l'univers Marvel était traité tout les 2 ou 3 mois (quelque soit le traitement d'ailleurs, Busiek n'ayant reconstruit la Vision que tardivement, sa forme intangible faisant foi, comme la poste et son cachets). La menace de l'épisode n'est que secondaire mais convient parfaitement au ton du récit. Et là encore Gage sait s'y prendre avec les vieux fan des Avengers en convoquant la ROXXON. Néanmoins tout n'est pas parfait. La faute à ce récit et au traitement de ces personnages qui en devienne out of caracters dans l'univers Marvel actuel. J'ai trouvé que Gage a forcé un peu le trait pour pouvoir différencier son récit. C'est un comble (et j'ai du coup pensé la même chose de la partie graphique). Mais lire cet annual juste après Assemble m'a fait du bien et redonner la foi dans les Avengers. Le solde est plus que positif.

Thor God Of Thunder #4 (Aaron / Ribic)
Le bijou mensuel de MArvel Now. Le scénario (et les dessins of course de Ribic) de Aaron dépote un max car cette fois ci tout les pièces du puzzle commencent à s'emboiter. Aaron instaure une véritable tension dans son récit à travers le massacreur de Dieu qui est, à mes yeux, une véritable réussite en tant que nouvelle menace (pas facile de nos jours). La construction en flashback peut en dérouter certains mais je la trouve au contraire ambitieuse et permet justement de maintenir une certaine tension sur le récit. Le plus de ce numéro est le bestiaire des dieux employé (avec une légère pointe d'humour sur les rôle de certains Dieu, pointe d'humour qui est la marque des grands scénariste par sa justesse dans une histoire dramatique) par Aaron où j'ai senti une réelle envie d'exploiter son idée et à ne pas résumer le panthéon des dieux à Asgard (surtout que là on comprend mieux pourquoi cela se passe dans la série du Dieu Tonnerre ainsi que son rôle pivot et les 3 périodes de sa vie).

Indestructible Hulk #4 (Waid / Yu / Alanguilan)
Petit à petit cette série prend son envol. La dualité Banner/Hulk prend de l'ampleur mais c'est surtout que désormais Waid creuse son sillon sur la cas Bruce Banner. Fou ? Génie ? Schizophrène ? Sale con ? Surement un peu tout cela. Waid l'exprime par petite touche (la scéne du miroir, la salle blague à sa nouvelle équipe). De plus la menace Attuma est à la hauteur du géant de Jade et rend enfin honneur à la puissance incarné par Hulk. Enfin sournoisement Waid continue d'instaurer une part de mystère à travers les relations Shield/Banner : complot (via Banner dans cet épisode), manipulation (Shield, Banner) ? Yu est plus à l'aise que lors de ses précédentes prestations sans me convaincre complètement.
Il y a du mieux dans cette série et c'est tant mieux (surtout ce mois ci au vu de la qualité général de l'ensemble du mag)

Fearless Defenders #3 (Bunn / Sliney)
Lu et vite oublié. Je trouve cela quelconque et les dessins de Sliney (plus que quelconques) n'aident pas à s'identifier à cette série. Bunn n'est pas très inspiré et la saga en cours ne m'intéresse pas (encore la Walkirie, et les vierges Mortelles ressemblent furieusement aux Dises de Thor et JIM). Rien à dire de plus. J'ai déjà trop écrit.

Un bilan bien maigre ce mois ci pour un des magasines que j'apprécie le plus. Il manque clairement une troisième bonne série ce mois ci et ce n'est pas l'annual de bonne facture qui fait pencher la balance du bon côté. Je me suis dit que PANINI, bien que tributaire de la production outre atlantique, manque parfois de discernement dans l'équilibre (même si la qualité de séries est subjective) des magasines.
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Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 07/10/2013 à 23h23.
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