D'autant plus que la voie logique de déshumanisation n'arrange en rien la chose. Actuellement on n'est purement et simplement que dans le concept de la survie.
Le deuxième problème est le soap dégoulinant. On n'en avait certes une bonne dose auparavant pour occuper les moments calmes, moins "zombiesques" mais il était générateur de tension et d'évolution de l'intrigue.
Dans un contexte de survie je le conçois tout à fait (besoin primaire, repère, un peu d'amour ne fait pas de mal dans ce monde sans espoir) mais la subtilité ou intérêt dans le récit c'est désormais lettre morte.
A ce propos dans ce volume par rapport à Michonne, on se demande même s'il n'y a pas un aveu non dissimulé de l'auteur...
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