Accrocher le regard du néophyte et proposer une séquence cohérente de scènes sur 24 pages sont très différents. A partir des années 90, Neal Adams a par exemple conservé pour moi une force d'attraction au niveau de ses couvertures mais n'est plus parvenu depuis cette époque à construire nue narration lisible.
D'un autre côté, nous sommes revenus maintenant à une période où les couvertures ont très peu à voir avec le contenu (des Variant covers thématiques pratiquement chaque mois). Attend-on encore un lien véritable entre l’extérieur du comic et son contenu ?
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