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X-MEN 4
Fin de la saga Hate Machine sur Red X-Men. Bien qu'agréable à lire, Tom Taylor fait du Tom Taylor. C'est propre mais sans réelle prise de risque. 7 numéros c'est trop long et surtout Taylor rate LE sujet principal : le retour de Jean Grey. On tourne les pages, on se dit que c'est sympa et le mois suivant on a déjà oublié ce que l'on a lu malgré une toile de fond avec du potentiel.
Le mariage de Kitty et Piotr reste le bijoux de ce fascicule. Bien écrit (surement le meilleur numéro de Marc Guggenheim sur X-Men Gold) et magnifiquement dessiné, X-Men Gold #30 se démarque par ses dialogues de qualités permettant de retrouver une caractérisation forte des personnages qui m'avait manqué. Et puis il renouvelle de manière habile le concept du numéro sur le mariage dans les comics. J'avais trouvé à l'époque (lu précédemment en VO) que ce numéro remportait haut la main le match face à Batman #50 et au mariage de Sélina et Bruce (je n'ai pas changé d'avis d'ailleurs).
Pour le reste Marc Guggenheim ne m'a guère intéressé dans X-Men Gold #28 et #29 et sa saga sur la sentinelle Alpha.
AVENGERS 4
Fin d'arc confuse pour les Avengers d'Aaron (Avengers #6) mais le côté blockbuster a bien fonctionné sur moi depuis le début. Très bonne reprise en tout cas. Le niveau monte avec l'épisode #7 faisant un focus sur deu des Avengers de la préhistoire. Et Sara Pichelli est à des lieux de sa médiocre prestation sur Fantastic Four. Excellent.
J'attendais avec impatience le Captain America de Ta-Nehisi Coates. Je ne suis pas déçu. Déjà très bon sur Black Panther, l'écrivain américain me semble l'homme idéal pour donner sa vision du personnage, d'autant plus que c'est un féru de Marvel (plein de références dans ses livres). Même Leinil Yu m'a plu, c'est dire.
Iron Man : toujours aussi agréable à lire même si Dan Slott a quand même tendance a un peu trop situer son action dans le monde virtuel. Cela manque de réel. J'apprécie l'effort fait sur la casting mais là encore attention à ne pas trop se focaliser dessus au détriment de Tony. Mais la romance plus que suggérée dans ce numéro a tendance à me rassurer. Par contre je continue à trouver les planches de Valerio Schiti un poil surchargés rendant parfois l'action confuse.
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