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Vieux 10/04/2019, 13h04
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Ben Wawe Ben Wawe est déconnecté
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Ben Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à Galactus
Batman #68
La blague est trop longue, mais elle a encore quelques bons moments ; même si ça dure vraiment, et si les "emprunts" de Tom King à d'autres auteurs sont quand même assez visibles.
Poursuite de l'immense saga Knightmare, avec cette fois-ci une autre version des enterrements de vie de jeune fille et de garçon ; moi qui ai récemment relu ces mêmes événements dans le tome d'Urban Comics, je suis ravi. Bon, Tom King n'avait pas géré ces moments jadis, il le fait ici, et je ne peux m'empêcher de me demander si ce ne serait pas une "reprise" de contrôle par l'auteur, qui n'a sûrement pas goûté tout le bad buzz et les débordements qui ont suivi le mariage et le #50. Le tout étant grandement impacté, à mon sens, par tout le foin fait par DC dessus, avec tie-ins préparatifs et événement monté en épingle. Bref.
Ici, on a donc la folle soirée de Selina & Loïs dans la Forteresse de Solitude, et c'est plutôt rigolo et léger, dans la droite ligne du double épisode/double rencard entre Superman & Batman & mesdames. Tom King gère bien le duo Selina/Loïs, les rebondissements sont rigolos bien que prévisibles ; idem pour Bruce & Clark, même s'il est un peu fainéant pour la crispation ennuyée des deux. Le tout se laisse bien lire, même si le cliffhanger final n'en est pas un ; tout ça est bien attendu, quand même, et rappelle grandement l'astuce de Final Crisis par Morrison.
Amanda Conner livre des planches délicieuses, Mikel Janin & Dan Panosian assurent le reste un peu à la va-vite. Bon, l'ensemble reste solide, mais dommage que tout ne soit pas signé de la même personne. A moins que ça soit un signe ? Car les planches divergentes ne correspondent pas vraiment au "rêve"... à voir.
Une lecture plus agréable que la précédente, déjà car il y a quelque chose à lire. Mais il est temps que tout ça s'arrête, quand même, pour voir ce que King veut vraiment faire de plus, là.
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