L'histoire :
Attaqués par des hommes armés, Rom se défend puis décide de se laisser conduire dans leur vaisseau mère.
Les détecteurs du vaisseau concluent que ROM est à la fois robot, ce pourquoi il a été attaqué et mais aussi à moitié humain.
Il est accueilli par leur chef qui lui explique qu'ils ont été chassé de leu planète par les robots qu'ils ont eux-même construit pour les aider dans la recherche d'autres planètes. Le moule initial, Automata, règne maintenant sur la planète.
C'est depuis la guerre entre les robots et les humains.
ROM se propose comme ambassadeur. Il se rend sur leur planète où il rencontre Automata mais il échoue de la convaincre de partager les ressources et les atouts des deux camps.
Il tente de s'interposer dans une bataille qui s'avère fatale pour les deux camps.
C'est mon avis et je le partage:
Les craintes qu'on pouvait avoir à la lecture du #67 se confirme avec un numéro qui aurait du rester dans les fonds de tiroirs de Marvel.
Le charme rétro qu'on pourrait lui trouver est largement plombé par le sentiment d'avoir déjà lu 100 fois ce type d'histoire.
Rom continue à expliquer en bulle de pensée qu'il a perdu son humanité et se morfond de son amour pour Brandy restée sur Terre.
On s'ennuie ferme même si on ne peut pas reprocher à ce numéro de ne pas faire avancer l'intrigue puisqu'il n'y en a pas.
Graphiquement le numéro fait très daté. L' incapacité de Ditko a rendre crédible des machines, robots ou tout autre élément futuriste saute au yeux.
Automata en est l'exemple le plus frappant.
Ce qui aurait pu passer dans les années 60 fait franchement rire en 1985.
"Rom # 68 : "Moitié homme, moitié robot, 100% chiant"