Disons que d'un côté il y a les ingénieurs et de l'autre la main d’œuvre. C'est un exercice périlleux mais je trouve que dans le cas de NML l'équilibre est bien trouvé. On ne peut pas faire avancer un mastodonte comme NML pendant un an sans souffler et se permettre des parenthèses (qui parfois s’avèrent surprenantes).
Tout ça pour dire que DC a prouvé avec le NML, ensuite avec 52 et aujourdh'ui avec Batman Eternal qu'ils savent faire tourner un projet éditorial avec de nombreuses plumes et crayons et que le tout forme un bloc.
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