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Thor 701
Aaron me ravit et me dévaste..
déjà le numéro précédent m’avait brisé le cœur..
Mon histoire avec Thor remonte à Thor (Flash) 19 et Thor le fils d'Odin 16 vers mai 82 (8 ans) (oui a l époque l intelligence supérieure des enfants de 8 ans permettaient de suivre une série dans deux époques différences en faisant fi des spoilers et autres.. sans être tétanisé devant des pages (surement menaçantes)). J'avais déjà été fan de Flash, des xmen.. mais surement que là mon gout pour les vengeurs a commencé (surtout que l equipe était au sommaire du mag noir et blanc.
Bon ceci dit, Mangog est de retour!! Gamin, j'étais fasciné par ce personnage et par le glaive d'Odin. Toujours des histoires assez épiques..
Bref, je suis surement pas objectif (bien que j ai vu que Mangog était réapparu dans le run de Jurgens.. et j en ai aucun souvenir..).
Bon je suis trés fans du Thor d'Aaron.. pas de tous les arcs (le 1er à la seigneur des anneaux m a ennuyé.. certains avec Roxxon etait long..) mais de manière général, il est parfait pour ecrire le aventures de Thor : epiques, mythologiques, vikings!!
Contrairement a de nombreux lecteurs, je préfère d ailleurs la partie avec jane Foster qui est justement sans véritable arcs moyens.. passionnant de bout en bout.
Je préfère largement au run (comme d'habitude inachevé) de JMS.
JMS comme Brubaker avec Cap à revitalisé la série mais Aaron comme Spencer est revenu sur le vrai terreau de la série et en a revitalisé aussi le casting (Jane Foster, Volstagg, les elfes, trolls etc etc) et les enjeux.. (JMS comme Brubaker était sur des points particulier mais pas sur l ensemble).
Bref, ce numéro rebrise mon coeur avec la mort de la fin du 700 mais replace les enjeux et prépare la fin d une phase qui n a pu être que minutieusement planifié. Oui quand je pense avoir lu que Wilson ou Foster étaient des dekitats de l editeirs alors que l'on sent bien que tout est organique surtout, justement si on reprend du départ ( a croire que justement seuls les runs non organiques ont la faveur des fans s ils ne font la part belle qu'aux personnages les plus vendeurs avec des concepts blockbusters).
Quand je lis Thor, les dieux parlent comem des dieux, les enjeux sont cosmiques et pourtant tout est à l echelle humaine, individuelle en même temps ...
Magnifique... même si Harren n est pas Dautermann qui manque. Mais là aussi le style du dessinateur est utilisé au mieux dans le script et si on perd sur le coté illustration, la narration n en souffre pas.
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