[daf-one]

voici la suite :

Josh se réveilla avec une affreuse douleur répandue dans l’ensemble de son corps. Il sentait les veines du bois prêt de sa paume ; c’était une sensation assez bizarre comme s’il rentrait dans l’intimité même du bois.
Il pouvait sentir les nœuds, les boucles les bourgeons morts nés ; cette sensation l’envahi, le pris à la gorge. Il n‘en voulait plus s’en était trop ; la sensation l’envahissait le submergeait. Il voulait que ça s’arrête, et ça s’arrêta !

Il se rendit compte que tous son corps ressentait la même chose. , les mêmes vibrations les même échos de la matière. Il ne voulait plus de cette sensation, il l’a rejeta.
Et a ce moment la tout son corps se contracta. Il ouvrit les yeux, d'abord par quelques battements de cils puis ses yeux furent grand ouverts. Dans un premier temps la lumière l’aveugla, puis de puissante elle devint douce ; enfin le floue devant ses yeux se dissipa.

Il se releva et se rendit compte qu’il avait dormi pendant 11 heures. Bientôt son père reviendrait de l’usine, et il devrait lui expliquer pourquoi il n’était pas aller au lycée : Question à la laquelle lui non plus n’avait pas la réponse. Il s’appuya sur le rebord de son lit en soupirant, en pensant que tous les malheurs du monde lui tombaient sur les épaules. Il se dirigea ensuite vers la porte de sa chambre.

Là une autre sensation l’envahi celle de s’etirer, plus particulièrement celle de l’étirement de son bras.Plus il s'approchait de la porte plus cette sensation grandissait. Josh était maintenant collé à la porte et la sensation nouvelle perdurait. Sa main ! Oui sa main ! Elle était restée sur le rebord de son lit. Il tourna la tête et découvrit un bras, son bras, allongé d’au moins 2 mètres, pris d’horreur il s’évanouit.

Il se réveilla bien vite. Voulant savoir ce qui s’était passé, il regarda son bras et essaya de retrouver la sensation nouvelle.
Il essaya de tendre son bras mais rien ne se passa. Il se dit alors qu’il avait sans doute dû rêver ; il regarda l’horloge. Mais non tout ceci était bien réel. Il essaya à nouveau ; il tendit son bras, bandait ses muscles au maximum, là son bras sembla s’allonger. Il força, il tendit encore plus fort et son bras s’allongea d’autant plus.

Cette sensation plutôt déplaisante du début se transforma en sensation neutre et bientôt agréable. Il se dit alors que son évanouissement après avoir mâcher le chewing-gum y était sûrement pour quelque chose.josh aimait bien se pouvoir et il ne savait pas encore qu’il en aurait d’autre …