Discussion: Critiques VO 2023
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Vieux 18/01/2023, 08h48
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Ben Wawe Ben Wawe est déconnecté
Dieu qui déchire sa race
 
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Ben Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à Galactus
The New Champion of Shazam! #4
Petit final sympathique, d'une mini-série également sympathique bien qu'un peu anodine.
Josie Campbell achève de faire de Mary la nouvelle Shazam (dieu que je déteste cette idée que le nom de super-héros soit le mot magique), en l'opposant à
Tout est bien qui finit bien avec les proches, et Mary gagne l'estime de tous.
Bon, le scénario est basique, limité mais fonctionnel. Il permet surtout à Doc Shaner de livrer de superbes planches, avec cette veine "ancienne", rétro si agréable mais aussi des images épiques.

C'est très beau et entraînant, mais plus pour l'ambiance que l'objet de l'histoire.

Nightwing #100
C'est bien, mais... petite déception.
Tom Taylor livre un très gros épisode, qui finalement... n'est qu'un très gros épisode de Nightwing. On a certes quelques éléments neufs, mais cela s'intègre pleinement dans ses intrigues et son approche. On a "juste" plus de pages, avec un passage un peu facile pour les gonfler.
On a, donc, Heartless qui s'en prend à la prison de Blüdhaven, corrompue et remplie de gens maltraités qui n'ont rien à y faire. Il libère les criminels et super-vilains, et c'est rude. Nightwing vient aider évidemment (avec une demi-douzaine d'illustrations pour acter les changements de costume dans sa carrière durant la voltige), convainc quelques prisonniers de s'amender et est aidé par les Titans. Ils parviennent à vaincre, mais Heartless s'enfuit après avoir pris contact avec Zuco. Finalement, Nightwing est rejoint par Superman et Wonder Woman, qui lui demandent d'être le "leader" des super-héros le temps que la Justice League se réadapte. Cela enclenche un dialogue émouvant Dick / Bruce, puis Nightwing qui décide de racheter la prison pour en faire un nouveau symbole (car c'est le premier bâtiment vu en arrivant en ville) :

C'est cool, c'est sympa', c'est bien fait ; mais sans surprise. Que ça soit la gestion des événements ou le fond, rien n'est vraiment original ou nouveau, et c'est quand même dommage pour un #100, mais aussi après plusieurs épisodes d'attente jusque-là.
Certes, c'est sympa' de voir Heartless se lancer, et Tom Taylor multiplie les bons moments, les bons mots, les bons dialogues et les bonnes caractérisations ; mais comme d'habitude, en fait. Rien de neuf, et même le final ne fait que confirmer les apports très soulignés dans Dark Crisis.
On n'a rien non plus sur
et c'est quand même fort dommage. Déception, donc, même si la lecture est agréable, notamment via les dessins impliqués et appliqués de Bruno Redondo, Scott McDaniel, Rick Leonardi, Eddy Barrows, Javier Fernandez et Mikel Janin. C'est joli, dynamique et réussi.

Un bon gros épisode. Qui, hélas, n'est rien d'autre qu'un bon gros épisode.

The Flash #791
Ca avance doucement mais sûrement.
Jeremy Adams continue son petit événement, avec une attaque massive d'extraterrestres qui figent le monde, sauf les Speedsters. On voit plus les envahisseurs, venus récupérer des ressources naturelles mais aussi intéressés par les Speedsters, comme "cadeaux de mariage" de leur impératrice. Lesdits Speedsters se réunissent, avec de bonnes dynamiques : Kid Flash & Impulse s'engueulent, Jay Garrick est badass, Jesse Quick est cool, Wally et Barry sont ravagés par le destin d'Iris. Les ennemis libèrent une ennemie bien méchante, mais il est dommage que le cliffhanger soit... annoncé par la couverture, en fait.
C'est cool. Rien de révolutionnaire, mais agréable avec surtout de bonnes caractérisations. Roger Cruz propose des planches correctes, moins appliquées que dans la série Robin mais ça fait le job.

Efficace et surtout bien appliqué sur les personnages.

Stargirl: The Lost Children #3
Très bien, encore.
Geoff Johns continue sa bonne p'tite saga, en faisant avancer les événements. D'un côté, Stargirl rencontre les Enfants Perdus, cette troupe de sidekicks oubliés et disparus. Certains commencent à comprendre qu'elle ne vient pas de leur époque, alors que les échanges sont agréables et sympathiques. En parallèle, Emiko est emprisonnée par The Childminer, une créature féminine à l'allure terrifiante qui "garde" les enfants pour leur futur beau-père. Emiko perd la mémoire sur action de l'ennemie, mais elle a une alliée sur qui ça ne prend pas : Judy Garrick, la fille oubliée de Jay !
C'est cool. C'est très frais, très doux, très mignon mais aussi très prenant. Geoff Johns livre un récit classique mais dynamique, avec un vrai plaisir de découvrir tous ces sidekicks "oubliés". Il y a un parfum rétro assumé, mais avec une approche contemporaine, qui est très agréable.
Surtout, Todd Nauck est en feu. J'ai toujours eu du mal avec son style, mais il est ici très inspiré et très, très bon. C'est beau et dynamique.

Un bon p'tit plaisir rétro assumé, très agréable et surtout intriguant.
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