L'hommage de
Brian Michael Bendis, avec
Bill Walko, paru aujourd'hui dans le "New York Times" :
Pour moi,
Stan Lee, c'était les comics. Tout simplement. Il les a réinventés dans les années 60, son héritage est immense. Au diable les polémiques sur qui faisait quoi, les embrouilles avec ses dessinateurs, etc. C'était un géant qui a changé l'histoire du média et l'Histoire du divertissement tout court. Songez à tout ce qui n'aurait pas été sans lui et vous mesurez l'importance incroyable de Stan Lee.
Je suis triste. Mais heureux aussi qu'il ait existé car il a changé ma vie, parce que j'ai vécu à la même époque que cet homme. C'est un privilège.