Et hop, une petite pile avec les trucs de Septembre. Vite fait, pour la forme.
Magnus Robot Fighter #1:
Bon, en fait, je pensais que c'était la numéro 1 de la nouvelle mini vendu à 1$ (vertigo style quoi), mais en fait, il s'avère que c'est un reprint du #1 de Russ Manning. Un peu dépité, je commence ma lecture qui s'avère très bonne au final. Pas mal de bonnes idées, un gros côté pulp qui n'est pas pour me déplaire et le dessin est excellent aussi.
Deux reproches, la repro très mauvaise. Et l'unique coup de Magnus (je ne compte pas le nombre de coup du tranchant de la main sur 22pages).
Sinon, une très bonne surprise.
Chew #14:
Tony essaie d'avoir une vraie vie privée alors que Savoy et Colby se retrouvent face à face. Et aussi du dossier les ex de certains persos (et du lourd en plus).
Bon, épisode un peu plus léger que d'habitude, moins de délire et de tension. Par contre, de la grosse mise en place pour la fin de l'arc qui risque d'être énorme.
Batman and Robin #14:
Enfin, le voilà. Il se sera fait attendre. Par contre, ça valait largement le coup. Je crois que Morrison est parti pour nous livrer son meilleur arc depuis son arrivé sur le perso. C'est juste énorme et fou.
Je trépigne déjà pour la suite!!
(par contre je remarque quand même, le mois dernier, je n'étais pas loin d'avoir bon).
Joe The Barbarian #7:
La fin du numéro précédent laissait présager deux derniers numéros fous d'épisme. Mais en fait, non.
Morrison tente bien dans les dernières pages un ultime twist pour essayer de relancer le truc, mais bon, arrivé à ce niveau du niveau, ça fait un moment qu'on s'en fout.
Heureusement, il reste un Sean Murphy en belle forme!
Sweet Tooth #13:
Lemire tente de relancer la machine et son histoire. Il remet tous les persos en route/action et c'est parti. Et franchement, il était temps.
J'espère que Lemire s'est bien relancer, car franchement, même si j'aime beaucoup cette série, la lecture en single commence à en devenir un peu pénible.
Aller, cet arc m'a l'air très bien parti, ça fait plaisir.
Greek Street #15:
Soit, l'avant dernier numéro. D'ailleurs, ça fait un peu peur. En effet, sur cet épisode, Milligan remets tous les persos présentés depuis le début en selle dans ce récit très dense (du coup).
C'est vraiment bon et plaisant, et il n'y a guère que l'ombre d'un seul numéro pour conclure une telle montée pour ternir cette lecture.
Oulala, ce dernier numéro, comment je l'attend et le redoute en même temps.
In Milligan, I trust.
The Unwritten #17:
Numéro centré sur Lizzie, le tout sous forme d'un mini jeu, façon livre dont vous êtes le héros. En toute franchise, ici la forme prend le pas sur le fond (on y a surtout des confirmations) mais c'était vraiment bien foutu. C'est très prenant (j'ai fait toutes les fins possibles) même si parfois, les changements page après page peuvent être un peu lourds (surtout que le single, ce n'est pas un modèle de solidité et de truc que tu peux tordre dans tous les sens).
Une très bonne expérience de Carey et Gross.
Hellblazer #271:
Encore un que j'aurais vraiment attendu (malgré sa parution normale). Mais bon, la fin de l'arc précédent était assez énorme. Entre la demande de John et le départ d'Epiphany avec Shade, il y avait de quoi faire.
Et Milligan continue bien fort. Epiphany coincée sur Meta avec un Shade complètement à l'ouest, John qui tente n'importe quelle folie pour la trouver et le retour de vieux ennemis du old bastard, bref, encore un numéro de haute volée par le monsieur.
Camuncoli livre une nouvelle fois quelques belles planches (la folie semble bien lui aller) et le numéro se finit même par du Bisley.
Quel pied.