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Posté par Bill Mitchell |
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...pourquoi faut-il que ces considérations ontologiques soient liées forcément à l'ingestion de drogues ? Pourquoi faut-il des champignons hallucinogènes, ou une overdose , pour pouvoir prendre conscience de l'état de personnage de fiction ou pour faire prendre vie un personnage ?
Je suis vraiment gêné par ce postulat de départ .
C'est certain qu'il faut un changement de posture radical pour prendre le recul nécessaire à cette nouvelle vision du monde . Ce pourrait être la folie qui le provoque. Chez Moore, dans Promethea, ce peut être la folie de la guerre, mais aussi la perte de contrôle du conscient avec l'écriture automatique, mais avec la simple concentration. Chez Gotlib, ce peut être un simple coup de colère pour sortir de son monde virtuel . Les drogues ne sont pas obligatoires !
Donc, je suis gêné par cette redite qui montre un attachement morbide aux drogues.
J'attendais une bande plus lumineuse et fun, et pas cette lente descente d'acide .
Mais je changerai peut être d'avis à la fin . |
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Ah zut, FLEX MENTALLO me tentait bien, et là, du coup, ça me refroidit totalement.
Les "trips" toxicos d'auteurs hallucinés ont tendance à me faire fuir, c'est vraiment tout ce qui m'énerve dans les postures des pseudo-artistes!
Les hallucinations, le psychédélisme, et l'onirisme dans une moindre mesure, au mieux m'indiffèrent et m’ennuient profondément.
Dommage, Quitely avait effectivement l'air au top.