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C'est un point de vue. Pas le mien, car je le sens trop agressif dans le jugement vis-à-vis de pratiques qui ont tendance à rendre floue la frontière entre les modes de consommation.
Devant l'avalanche de titres, leurs prix, et l'impératif financier de n'acheter que ce qui est sûr de te plaire, certains peuvent aussi voir légitimement l'offre illégale comme la possibilité de tester pour savoir quoi prendre.
Je suis persuadé que si les éditeurs offraient des tarifs et propositions plus acceptables pour l'offre en ligne, bien plus iraient là que dans l'offre illégale.
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