Mon premier John Cale, c'était Words for the Dying. Et j'ai enchainé avec Music for a New Society. Pas les plus faciles d'accès, mais suffisamment pour me faire m'intéresser à l'artiste. À l'époque, pas aidé par internet, j'achetais souvent à l'aveugle (cocasse pour de la musique) et je découvrais sur ma chaîne à la maison. J'ai trouvé Paris 1919 bien plus tard, qui reste mon préféré avec Sabotage Live (la période live de 77 à 79 est incroyable et très bien fournie en pirates de qualité souvent correcte). La trilogie avec Eno est excellente (ma préférence va à Helen of Troy)
Il y a de sacrés pépites dans la carrière solo du gallois.
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