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j'ai véritablement adoré le premier arc de SNYDER avec DICK, BARBARA et le frère GORDON. C'était bien fichu, touchant et ca jouait avec la mythologie du personnage tout en l'améliorant. J'ai trouvé le BATMAN 1 exceptionnel, j'ai énormément apprécié GATES OF GOTHAM et le truc avec les HIBOUX était plutôt pas mal. |
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c'est quand même assez troublant de voir la vendetta opérée par JOHNS , SNYDER et leurs collègues sur les histoires du génial Anglais. On comprend bien que ce dernier refuse de jouer le jeu de la pub et n'arrête pas de critiquer le travail de la firme, mais quand même, est-ce que ca valait la peine de détruire le travail du bonhomme sur SWAMP THING, le JOKER, WATCHMEN et CONSTANTINE ? |
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Pourquoi lui arracher le visage ? Quel est l'intérêt? Aucun ! Si ce n'est encore une fois faire saliver les amateurs de chair fraîche et jouer sur l'effet ado-Walking Dead-Zombie ! |
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Je suis totalement d'accord sur cette critique du second arc de
Batman par Snyder.
1°, Le premier arc "la cour des hiboux" est excellent (dans la lignée de
Gates of Gotham : on remet en scène Gotham City dans
Batman, parallèlement aux activités internationales de
Bat. Inc, second titre phare consacré à la chauve-souris du
NU52) comparé à ce qu'il a fait sur
DOTF (le coup de l'ellipse est risible : une grosse bourde comme pour le troisième volet de
Nolan (C'est terriblement long 7 ans !)), même le dessin de
Capullo ne rattrape pas cette idée grotesque du leather-face (un hommage, ma foi, mais il fallait le motiver un peu plus intelligemment),
Pat Gleason, en revanche...
2°, Le Moore-bashing : tout est dit ;
Snyder qui prétend admirer le Joker de
Moore (et
Swamp Thing ?), dans ses interviews, le brise totalement ! Manque d'imagination, on fait du gore pour du gore, résultat = ce n'est pas interprétation brillante du personnage (j'en attendais quand même un peu de ce non-évènement : le climax aurait du être d'un tout autre niveau...c'est
Morrison qui volera la vedette, méritée, en fait...)
3°, La violence a de nombreuses facettes dans les comics (par exemple, chez
Miller, elle sert une vengeance au dessus des lois des corrompus et des incapables) ; au final, cet arc de
Batman et les autres titres qui ont du subir la présence du Joker sentent l'ultraviolence, sans plus, et c'est dommage.
Le Joker de
Snyder, C'est
Crossed qui s'invite à Gotham.