Eleanor & the Egret 1 (Aftershock ; Scénario John Layman ; Artist Sam Keith)
Pitch :
A paris une toile vient d’être volé dans le musée de couleurs étonnantes. Un policier va devoir donc chercher qui a pu prendre la toile et le seul indice est une plume. Mais pas doué en oiseau il va demander dans une animalerie ou la voleuse se trouve et va devoir l’aider.
Avis :
Déjà les dessins. Je n’ai pas trouvé la mise en page logique à plusieurs endroits. Page 1, Eleanor est statique, elle court, puis est de nouveau statique avant de reprendre sa course. La narration du vol par le policier m’a aussi posé problème. Eleanor fait un code, puis on voit un trou à la verrière par où elle est passée comme démontré par la suite. Donc a quoi a servi le digicode ? Plus grave. L’enquêteur nous montre une porte qu’elle a ouverte grâce à son animal de compagnie, puis tout un couloir où dormait un garde et enfin la salle ou entre les lasers et le sol il y avait de quoi sonner l’alarme. Bon on ne nous explique pas comment elle passe le garde alors que le trou à la verrière est dans le même endroit. Mais bon il est endormi, mais au moins les lasers et le coup du sol sont expliqués. M’enfin, elle se pose sur le sol pour prendre la toile (Illogique puisque ça aurait du sonner). Mais alors voir encore le trou alors qu’elle survole le sol et les lasers signifie que le garde dort là où y’a les laser et l’alarme au sol. Mince pourquoi ne pas juste avoir fait un trou au dessus de la bonne toile. Envoyer l’oiseau faire un aller-retour. Pourquoi parler d’une serrure et d’un digicode qui n’ouvre rien puisque c’est la même salle ? Après y’a les dessins, j’aurais pu m’habitué surtout que très beau au début. Mais non, et puis elle a un coté Charlie (De trouvé Charlie) parfois qui m’a gêné. Le chat est juste un chat ou aussi spécial que l’oiseau (Qui lui parle) ? Et puis cette fin. Non mais non quoi. J’ai apprécié la couv crayonné sans couleur, simple et très belle.