Pour moi l'ouverture in media res de Wolverine montre bien que Cornell a tout compris au perso : c'est un peu John McClane. Dans ses aventures solo, il est plus souvent qu'a son tour embrigader contre son grès dans des aventures qu'il n'a pas demandé. Là c'est le cas. La preuve : on arrive même en retard pour le début de l'intrigue tellement il s'est fait choper à l'improviste.
J'adore.
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