Nightwing #44 : du neuf, du vieux, en somme un personnage qui assume le poids des années, et qui essaie de se trouver une place dans son époque. L'angle de Benjamin Percy est de faire de Dick Grayson un hermétique aux nouvelles technologies, un vieux de la vieille, et qui pourtant est rattrapé par le crime 2.0. Une vision qui rappelle que Nightwing est là depuis des décennies, et qu'il est temps qu'il évolue dans l'esprit des lecteurs. Le tout est servi par un Mooneyham très à l'aise dans les ambiances noires, et qui s'éclate sur les découpages des scènes d'action. On pouvait s'attendre à un bon début de run, le contrat est rempli.
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