|
Citation: |
|
|
Posté par wildcard |
|
|
|
|
|
- Justice League #2 : je tombe de haut. Tout n'est pas mauvais, il y a du rythme, les dessins de Jimenez ont une belle souplesse (complémentaire avec le côté plus raide de Cheung), mais...
Mais Snyder a, semble-t-il, des problèmes de mémoire et de construction : où sont passés Cyborg et le Joker ? John Stewart près à désintégrer la Totalité dans le #1 est maintenant en mission pour Oa et plus très disposé à aider la JL comme le lui demande Batman ? Comment Luthor a-t-il réussi à se glisser dans Superman (je sais, ça fait une drôle de façon de formuler la chose ) sans être repéré (ne serait-ce que télépathiquement par J'onn J'onzz) ?
Tout ça manque incroyablement de rigueur, comme si le scénariste s'était dit que, dans le flot d'infos de l'histoire, ces éléments passeraient inaperçus. Attention, il va falloir se reprendre sinon j'arrête les frais. |
|
|
|
|
Je suis très surpris par tes critiques, où je ne me retrouve pas.
Je me permets de répondre.
Cyborg n'est peut-être juste "pas là", tous les membres d'une équipe ne sont pas toujours présents ; idem pour le Joker. John Stewart avait été mandaté par Batman pour stopper le rayon, la JL a décidé que non, il vaque à ses occupations.
Pour Luthor, je pense qu'on aura l'information dans le prochain numéro ; cela faisait ici office de surprise, de cliffhanger. Je ne vois pas ça comme un manque de rigueur, mais comme un... appât pour la suite ?
|
Citation: |
|
|
Posté par wildcard |
|
|
|
|
|
- Avengers #3 : Aaron sombre dans le WTF le plus total. C'est hallucinant de bêtise mais aussi assez hypnotique : j'ai lu ça en ne cessant de me demander si on ne se foutait pas de moi.
Le souci quand même, c'est que si ça se veut drôle, ce n'est vraiment pas fin, on est loin de la malice dont Aaron était capable sur "W&TXM". L'intrigue, elle, ne veut rien dire, c'est confus. L'équipe à peine rassemblée se sépare en binômes. N'y a-t-il personne pour relire le script et en signaler la médiocrité ?
Visuellement, McGuinness n'aura tenu que deux épisodes : il signe seulement 5 pages. Paco Medina se charge du reste, de manière quelconque. De toute façon, aucun dessinateur ne tirerait quoi que ce soit de valable d'un truc pareil.
Je vais lire le #4 quand même, mais ce sera mon dernier effort. |
|
|
|
|
Mais où vois-tu le WTF et la bêtise ? Nous sommes dans la pause de l'intrigue, le moment où les personnages éclatés se réunissent, échangent des informations, et s'avancent ensemble. Je ne vois là rien d'illogique, que du grand classicisme.