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Vieux 27/03/2013, 19h33
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Anachronaute Anachronaute est déconnecté
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Anachronaute n'arrive pas à la cheville de PuckAnachronaute n'arrive pas à la cheville de PuckAnachronaute n'arrive pas à la cheville de PuckAnachronaute n'arrive pas à la cheville de PuckAnachronaute n'arrive pas à la cheville de PuckAnachronaute n'arrive pas à la cheville de PuckAnachronaute n'arrive pas à la cheville de PuckAnachronaute n'arrive pas à la cheville de PuckAnachronaute n'arrive pas à la cheville de PuckAnachronaute n'arrive pas à la cheville de PuckAnachronaute n'arrive pas à la cheville de Puck
Girls' Love Stories #92

Couverture : John Romita


My steady star
Scénario : ?
Dessin : Mike Sekowsky
Encrage : Bernard Sachs

Marsha est très surprise lorsque Peter arrive un beau jour de sa seizième année et lui roule une méga pelle. Faut dire qu'elle le connaît depuis toute petite et que pour elle Peter fait parti du décor comme les arbres ou le tracteur de son père
Alors forcément après la gamine se la pète un max devant ses copines qui, elles n'ont pas de copains (trop la loose !) et elle nargue les mecs qui l'ignoraient avant et qui maintenant, n'osent plus l'approcher. Bref, elle est sur un nuage.

Mais le Bonheur ne dure qu'un temps et après quelques mois, le Peter il a envie de renouer avec sa vie d'avant : les sorties entre potes, l'entretien de la bagnole etc. et la petite Marsha se sent bien seule. Plus personne ne veut lui parler puisqu'elle est si bien avec son Peter. Jusqu'à l'arrivée de Jimmy Barnes.
Gentil, attentif et attentionné celui-ci redonne le sourire à Marsha ce qui, évidemment, n'est pas sans conséquence.

Eh oui, Brigitte Lahaie aurait pu lui conseiller : rendre l'autre jaloux peut, dans certains cas, rallumer la flamme, le désir. Mais pour Marsha, quelque chose s'est brisé. Et le lendemain elle prend conscience que ce n'est plus Peter qu'elle aime.



In the name of love!
Scénario :
Dessin : Don Heck
Encrage :


Jean Connoly aimerait bien trouver enfin l'amour, mais malgré sa notoriété, ou peut-être à cause d'elle, les hommes que sont parcours à mis sur son chemin ne correspondent pas à celui qu'elle cherche : l'homme parfait, ni plus, ni moins.
C'est donc sous la fausse identité de Polly Benton qu'elle part en voyage dans un hôtel dont la publicité vante le cadre idyllique, propice à la romance. Manque de pot, l'hôtel est plein. Seul la suite nuptiale est libre, mais elle est, évidemment, réservée au jeunes mariés.
Prête à tout pour atteindre son but, Jean, ou plutôt Polly, s'invente un mari : Richard.

Malheureusement, le seul homme que Jean rencontrera pendant son court séjour est un journaliste qui l'a reconnu et ne croit pas un mot de son histoire de mariage. Furieuse, Jean s'enfonce dans son mensonge ce qui, le lendemain provoque deux évènements.

En plus d'être en colère, l'homme est beau et célibataire. Il connaît des endroits chics où l'on mange bien d'autres où on peut danser tendrement enlacés… serait-il l'homme parfait ?



Web of heartbreak
Scénario :
Dessin : Frank Giacoia
Encrage :


Betty Brant se demande bien où elle est tombée en acceptant l'invitation de Grace Brownley, une des femmes les plus riches et influentes du pays, qui fut l'amie de son père. Ça fait quelques heures à peine qu'elle est arrivée que déjà deux hommes l'ont embrassée. Le premier fut Jed Townson qui est là pour écrire un article sur la maîtresse de la résidence. Le second n'est autre que le fils de la famille David. Parmi les personnes présentes il y a également la très charmante Mary Horner.

Forcément la nuit venue, troublée par ses émotions, elle ne trouve pas le sommeil. À moins que ce ne soit à cause de la dispute qu'elle entend sous ses fenêtres. Serait-ce David et Mary qui ce querellent ?

Rassurée en constatant que David n'est pas concerné, elle trouve enfin un sommeil occupé par l'élu de son cœur. Le lendemain, c'est le bordel chez les Brownley.

Folle de colère, Betty retourne vers la résidence pour constater que Jed à dit la vérité : David l'a utilisée pour reconquérir Mary. Malgré sa gêne c'est dans les bras de Jed qu'elle trouvera du réconfort et peut-être même… l'amour ?



Sealed with a kiss
Scénario : Robert Kanigher
Dessin : John Romita
Encrage : John Romita


Rick est un marin. Comme tout marin, à ce qu'il paraît, il a une femme, ou plutôt des femmes qu'il oublie dès qu'il remonte à bord, dans chaque port. Pourtant il se sent bien seul dans la plus grande ville du monde, New York. C'est dans un des rares taxis qui sillonnent la cité pendant une grosse averse que son destin va changer.
Celui dans lequel il se précipite est déjà occupé par une charmante jeune femme blonde.

L'un comme l'autre passent leur soirée à danser avec de multiples partenaires. Pourtant, Rick ne parvient à se débarrasser de cet étrange sentiment de solitude. Sentant son désarroi, la jolie blonde lui apporte un café qu'il renverse sur elle la brûlant au bras.
Pour ce faire pardonner, il l'a raccompagne chez elle et malgré le peu de paroles échangées, au moment de la quitter, Rick à le sentiment de la connaître depuis des années. Il l'a prend dans ses bras, l'embrasse et la repousse aussitôt.

Le lendemain, Rick reprend la mer et sa vie de bourreau des cœurs, mais cette fois-ci il y a une différence : le visage et les derniers mots de la jeune New-yorkaise l'obsède. Lors de l'escale suivante dans la métropole, il se rend chez elle pour lui avouer ses sentiments, mais elle n'est pas seule. Il rebrousse chemin, se demandant vers qu'elle destination il va bien pouvoir naviguer pour l'oublier alors qu'il a échoué pendant plusieurs mois. Mais avant qu'il ai eu le temps de s'éloigner…

Et Rick se surprend à se sentir chez lui avec elle. Mettra-t-il fin à sa carrière de marin ? Deviendra-t-il trader à Wall Street ? Cela, l'histoire ne le dit pas...


Mon avis : Je dois avouer que je ne suis pas très fleur bleue alors les scénarii mouais, bof. Par contre graphiquement, ça tient la route. En même temps avec des noms comme John Romita ou Don Heck, beaucoup plus à l'aise ici que dans le registre super-héroïque, ce n'est pas étonnant.
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"Je ne pense jamais au futur. Il vient bien assez tôt" Albert Einstein

Dernière modification par Anachronaute ; 28/03/2013 à 18h31.
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