Je partage l'avis d'Agueev.
Oui, Arthur est dingue de base. Mais ce qui est intéressant, c'est que le réalisateur montre comment le cassage en règle des différentes solidarités défonce les filets de sécurité qui auraient du retenir l'explosion totale de la psyché du personnage. La faute de la société, c'est de tout faire pour raboter la prise en charge de la santé mentale. Arthur en est victime, mais sa mère avant lui puisqu'elle n'est plus prise en charge ni soignée. Remets une bonne prise en charge psychiatrique et il n'y a plus de Joker...
|