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Vieux 11/11/2018, 16h55
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Ben Wawe Ben Wawe est déconnecté
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Ben Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à Galactus
The Black Knight #1



A spin off of Grimm Fairy Tales, defense attorney Peyton Parks’ life is anything but normal or average. After being given the powers of The Black Knight from the Book of Fables, she has been riding the line of the legal system between attorney and vigilante. Now with her life finally slowing down some, a new threat has emerged from the shadows and Peyton may be the only one with the power to stop it.
**Writer:** *Terry Kavanagh
**Artwork:** *Sergio Ariño
**Colors:** *Robby Bevard
**Letters:** *Saida Temofonte
**Editor:** *Christina Barbieri
**Production & Design:** *Christopher Cote


Des éléments sur le blog de Zenescope (même si tout ne correspond pas au contenu du #1) : http://blog.zenescope.com/2018/10/the-black-knight-1/

Attiré par un article de Comic Box dessus, j'ai tenté le premier numéro de cette mini-série en cinq épisodes de l'éditeur Zenescope... connu essentiellement pour ses réinterprétations des personnages de contes de fée, avec le maximum d'atouts physiques et le minimum de vêtements.
Cependant, depuis quelques années, Zenescope développe un peu plus que ces facilités-là, et propose des personnages un peu plus construits et pertinents ; cette version du Black Knight en fait partie.
S'inspirant assez clairement de la version Marvel, pour laquelle j'ai une immense passion (#DaneWhitman4Ever), Zenescope livre ici une héroïne avocate dans le civil, mais qui peut accéder aux étranges pouvoirs du Black Knight quand il le faut ; mais ça avec des pulsions de violence, et un héritage lourd et mystique. Bref, du très connu pour ceux qui lisent Marvel - et c'est pour cela que ça doit être fait, pour les attirer.
Ce #1 livre ce qui aurait pu être une bonne version Ultimate du Black Knight, et l'ensemble fonctionne bien. Avec beaucoup d'éléments classiques, pour nourrir l'univers professionnel de Peyton et pour décrire ses futurs ennemis, Terry Kavanagh, un vieux routard qui n'a pas laissé que de bons souvenirs, s'en sort bien, et déroule un numéro conventionnel mais efficace. Ca rend bien, ça vit bien, ça fonctionne bien.
A ses côtés, Sergio Ariño livre des planches très correctes, et jolies. C'est sobre, mais efficace, la narration est fluide. Le dessin est au service de l'histoire, qui ne tente rien de fou, mais caresse le lecteur dans le bon sens ; efficace, encore.
Quel dommage, au fond, que Zenescope n'ait pu passer à côté de certaines facilités, dont le look de leur Black Knight. L'armure est bien trop ouverte, et ça n'a aucun sens dans l'histoire... hormis les orientations de l'éditeur, hein. Dommage, ça "casse" un peu le truc.

Une bien étrange surprise, mais agréable.
Je serais là pour la suite de cette mini-série, qui au fond semble mieux retranscrire et connaître l'esprit du Black Knight Marvel que les dernières itérations de l'éditeur sur l'original (notamment la bien morne série post Secret Wars, qui tapait complètement à côté).
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