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Posté par SJ |
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Archer & Armstrong #25 : comment peut-on tirer un trait sur une série telle que A&A? Pourquoi avoir cette sensation que même si on est arrivé au bout de la route que le voyage est loin d'être terminé? Et pourtant faute d'une fin c'est bien des conclusions qui sont tirées dans cet épisode, certaines irrévocables et d'autres plus ouvertes. Que retenir de cette série? L'amitié et l'aventure, l'amitié et l'humour, l'amitié et la fraternité, l'amitié tout court? Et on a pas envie de les laisser partir ces deux amis là, difficile de se consoler en se disant que ce n'est qu'une page qui se tourne et que d'autres titres comme Ivar Timewalker continueront une partie de l'aventure, sans nos héros.
Un superbe épisode double anniversaire qui conclue la série, avec tout de même quelques petits points négatifs comme le fait que toutes les histoires de ce numéro tournent autour de la boisson de Armstrong, un manque d'originalité qui fait tache. On sent tout de même la différence entre ceux qui ont quelque chose à raconter ou ceux qui font mal le boulot de remplissage comme ce bon vieux Justin Jordan.
C'est vraiment dommage que ce titre tire déjà sa révérence, on a l'impression d'avoir juste effleuré son potentiel, mais la page est tournée il faut l'accepter. Farewell Archer & Armstrong, au plaisir de vous recroiser au détour d'une future bagarre de bar. |
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Lu hier soir et je suis tout a fait d'accord avec SJ. Fred Van Lente a fait un très bon travail sur, spécialement sur le personnage d'Archer, qui trouve un aboutissement dans ce numéro. Ce numéro complète à merveille le #24 centré sur Mary-Maria, qui fut fort bon et le #0 sur Archer. L'ensemble est très cohérent et le scénariste a su nous proposer de très bons récits en travaillant sur la continuité. Je ne doute pas que nous croiseront à nouveau les deux complices dans d'autres séries Valiant (Armstrong fait une apparition remarquée dans The Valiant #1 avec la très belle nouvelle Geomancer). Clayton Henry reste un choix de luxe pour la partie graphique d'une fort belle tenue dans ce numéro anniversaire.
Je te rejoins également sur l'omniprésence du bar et de la boisson et encore une fois la médiocrité du récit de Justin Jordan.