12 numéros mensuels, sans retard, c'est un exploit.
Pour Bryan Hitch, c'est extraordinaire. Avec une telle qualité, c'est exceptionnel.
Ce qui est particulièrement agréable, c'est qu'il part au #12, à la fin de la première grosse saga de Robert Venditti. Ca a du sens, c'est beau et propre.
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