Les comics actuels vivent à coups de lancements et d'arrêts : même les gros titres y passent tous les 30 ou 40 numéros, quasiment.
Je vois moins la gestion de WCA comme un torpillage ou un sabotage, que comme la triste et cynique réalité du marché : lancement pour voir si ça fonctionne, et quand un miracle ne se produit pas, les titres qui ne sont pas principaux agonisent et disparaissent rapidement.
Je le regrette, même si je n'ai pas adhéré au titre ; mais c'est moins une volonté de ne pas s'impliquer, que le reflet d'un marché malade.
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