Mangold avait réussi à livrer The Wolverine, film moyen mais qui réussissait le tour de force de redonner de l'élan au personnage, de pallier un premier film abject, de donner une suite poétique à l'ignoble X-Men 3 et de préparer Days of Future Past.
Je pense que Mangold sait, aussi, faire des concessions avec le studio ; ce que les réalisateurs plus jeunes et inexpérimentés, dans le cadre de grosses productions, ne savaient pas faire (le type de Rogue One qui s'avère être quasiment retourné, Solo qui l'est carrément).
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