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Posté par Deroxat (Expert en Potins) |
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oui bon, j'essuie les platres... alors, on va mettre tout le texte en balise interdit au moins de comme ca c'est bon. je rappelle que si vous cliquez, vous certifiez ne plus etre mineur et prenez acte qu'il s'agit d'un récit de fiction a tendance érotique/pornographique.
Le jour où la terre s’est arrêtée
… du moins pour moi. C’était la rentrée des classes. Le vieux chauve en fauteuil volant et le grand mince aux lunettes rouges nous refaisaient le même discours que l’année dernière : « Il va vous falloir être fort […] vous êtes ici pour développer vos pouvoirs […] pour le bien de l’humanité entière, blablabla. ». Bref, que des trucs vachement utiles pour trouver un boulot. Incroyable comme certains peuvent brasser autant de vide pour raconter autant de conneries. C’est sans doute ça leur pouvoir…
Le temps semblait avancer au ralenti ; j’ai même eu l’impression qu’il s’écoulait à l’envers à un moment tellement ce discours ne paraissait plus finir. Et puis, elle est arrivée. Son costume un peu trop ajusté mettait en valeur un physique qu’elle avait fort joli. La large frange qui barrait son front laissait apparaître des yeux d’un noir de jais, ses jambes interminables étaient surplombées par un fessier rebondi et large comme il faut. Elle avait cette façon de se déplacer, toute féline, de celles qui causent des explosions de braguettes dans la rue. Le mignon petit ballottage qu’effectuait sa poitrine à chacun de ses pas ne laissa planer aucun doute : cette fille là ne portait pas de soutien-gorge.
Le temps s’est donc arrêté l’espace d’un instant, ou d’une éternité, je ne sais plus. J’aurais pu la contempler des heures durant utiliser ses lèvres pulpeuses pour sucer son crayon. Et c’est un « Vous êtes en retard ! » fort à propos qui me tira de ma rêverie. Le type aux lunettes rouges avait le chic pour balancer des évidences. Mais à part lui, je crois que personne n’en avait quoi que ce soit à foutre. Bien au contraire même, cette apparition divine avait au moins le mérite de nous sortir tous de notre torpeur.
C’est à ce moment là que cela s’est manifesté en moi. Les images sont arrivées d’abord par flash. Il y a ensuite eu augmentation de la température corporelle, puis le regard devint fixe, le monde cessant d’exister. Les images se firent dès lors plus présentes, finissant par envahir mon esprit pour ne plus le quitter. Le corps caverneux se gorgea, prit du volume et acquit une dureté sans commune mesure. Le monstre ensommeillé réclamait sa liberté. Il devint alors difficile à contrôler. La rage qui l’habitait ne pouvait être calmée qu’après un corps à corps aussi vif que brutal… On appelle ça plus simplement une érection. Et la petite nouvelle venait de m’en causer une bien belle ; presque autant que lorsque la japonaise au regard de salope nous avait fait cours de natation dans son bikini deux tailles trop petit.
Je ne connais pas son nom, mais cette fille là, je la veux. Elle est tellement belle qu’elle donne envie de se droguer. Le grand connard qui me sert de voisin m’a parié qu’il la tirerait avant la fin de la semaine. Il va donc me falloir agir au plus vite si je ne veux pas me faire griller la politesse.
J-4
Dans le genre peu productif, j’ai fait très fort aujourd’hui. Trois heures à passer dans ce local de torture, à faire semblant d’exercer mes pouvoirs à leur maximum sur le gros robot débile violet pour tenter d’engager la conversation avec la nouvelle. Avec le recul, les circonstances n’étaient pas vraiment favorables à la parlotte (note pour plus tard : ne pas draguer quand on risque sa peau), mais le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas très bavarde ; à part son nom, je n’ai pas appris grand-chose. « C’est Monique, mais mes potes me surnomment Momo » m’a-t-elle dit en tentant d’éviter de se faire piétiner par le géant de fer.
Mais restons positif : c’est à ce moment là que j’ai réussi à la peloter en douce. Pour lui éviter une mort certaine, je l’ai poussée sur le côté et j’en ai profité pour subrepticement plaquer ma main sur ses nichons. Emporté par mon élan, j’ai fini par malaxer cette lourde poitrine, aussi ferme que douce. Ca n’a pas eu l’air de trop lui déplaire, à en juger par le regard malicieux qu’elle m’a jeté en se relevant. Du coup, ses tétons qui pointaient fièrement au travers de son costume n’en finissaient plus de me donner la gaule. Il est à noter qu’il devient alors très difficile de se déplacer l’air dégagé quand cela vous arrive. Les quolibets du petit prof poilu ne m’ont cependant pas atteints : j’ai pris l’option force de caractère au bac.
J-3
C’est dingue comme les rumeurs se répandent vite à l’école. Quentin est le quatrième mec à prétendre s’être fait sucer dans les chiottes par Momo. Dieu merci, Sophie m’a certifié qu’il bullshitait à mort. Ce type ferait n’importe quoi pour se rendre populaire. Un jour ou l’autre, cette attitude va le pousser à faire une connerie, je le sens.
N’empêche que je peux pas trop lui en vouloir : imaginer cette fille en train d’agripper ma hampe a quelque chose d’excitant. Je la vois bien faire parcourir ses lèvres le long de ma pine, léchant mes couilles pour finir par engloutir mon gland. Elle ferait en même temps aller et venir sa main sur ma tige comme un vrai piston assoiffé de cul jusqu’à ce que je lui décharge tout sur son joli petit minois. Dieu qu’elle a une bouche à pipe… Il va falloir que je me soulage rapidement sinon, ça ne va pas être possible.
J-2
C’est quand même rudement bien de forcer tous les élèves à porter des uniformes. Momo était plutôt coquette aujourd’hui, elle ne portait pas du tout de sous-vêtements. « Mon costume est tellement beau, j’ai pas envie que les marques de ma culotte ruinent son effet » m’a-t-elle dit dans petit sourire rouge de honte. Effectivement, c’eut été dommage…
De deux choses l’une, ou bien cette fille est la plus grande ingénue de tous les temps, ou c’est la salope la plus jeune que je connaisse. Assis derrière elle en cours, j’ai eu beaucoup de mal à me concentrer. J’étais focalisé sur les hanches de madone que son petit top laissait apparaître. Un petit bout d’épiderme qui n’aurait pas du être là et mon imagination s’est enflammée. Elle a vraiment un très joli grain de peau, lisse et blanc qui dégage un parfum aussi évanescent qu’irrésistible. Cette odeur, c’est un tube qu’on écouterait en bruit de fond à la radio : on y fait pas trop attention mais il finit par rester dans les têtes. J’ai juste envie de passer ma main sur ce bout de hanche, pour le caresser, jouer de mes doigts sur cette peau satinée pour composer une inoubliable symphonie du plaisir… avant de les glisser dans son pantalon.
C’est là que je me suis rendu compte d’une chose. Un petit bout de dentelle noire dépassait de son collant. Cette fille là ment comme elle respire : elle portait un string aujourd’hui. Et c’est encore plus excitant.
J-1
On se rapproche, petit à petit. Mais la route est encore bien longue. On se parle. Elle a fait semblant de rire à mes blagues, j’ai fait semblant de m’intéresser à ce qu’elle racontait. Mais c’était pas vraiment de ma faute. La chaleur était étouffante aujourd’hui… On suait tous à grosses gouttes dans nos uniformes et chacun a développé son propre système pour se faire de l’air, genre s’éventer ou rester près du prof qui fait du froid. Momo a préféré user d’un système simple et beaucoup plus… attractif. Elle s’est promenée toute la journée avec sa combinaison ouverte jusqu’au nombril, découvrant ainsi un décolleté à la profondeur renversante. Renversant, c’est le mot : je ne compte plus le nombre de mecs au chapiteau monté à l’entrejambe qui se sont pris des poteaux dans la tronche en la suivant du regard.
Et elle de continuer à jouer les parfaites ingénues. « Regarde comment je sue, c’est vraiment pas très classe hein » m’a-t-elle dit en passant sa main dans le vaste sillon de ses seins. Sa main jouait avec ces masses que j’aurais adoré agripper à ce moment là pour les libérer de leur trop petite prison. Il faut l’avouer, sa proéminente poitrine débordait de partout. J’ai fait mine de ne pas avoir entendu, concentré que j’étais à tenter de faire redescendre ma bite à des proportions socialement acceptables. Fatalement, elle s’en est aperçue. Tapotant aussi doucement que langoureusement mon entrejambe, elle m’a susurré à l’oreille un « Couché popaul. Pas aussi vite » qui a décuplé mon érection, mettant mon sexe au supplice. Je l’ai regardé s’éloigner dans le couloir. Sa façon de rouler des hanches m’inspira une réflexion plutôt opportune : elle a vraiment un cul magnifique. Et puis après j’ai percuté : elle m’a quand même tripatouillé aujourd’hui. C’est plutôt une bonne journée.
Jour J
Ce soir, les troisièmes années organisent une petite soirée. C’est parfaitement dans mon timing. Tonight’s the night. Tonight’s the night. Tonight’s the night. Tonight’s the night. Tonight’s the night. Tonight’s the night. Tonight’s the night. Tonight’s the night. Tonight’s the night.
J+1
Quelle soirée de merde.
Pourtant tout avait bien commencé. Momo et moi, on avait enchaîné les bières comme un skater des Halles les ollies foireux. « Non, ça rend pas saoul. » ; « Oui, tu es belle. » ; « Ne t’inquiète pas, je me contrôle complètement » et autre « je t’apprécie pour ton esprit. ». Quand on a fini par se retrouver tout seul dans une chambre et qu’elle s’est jetée sur moi pour m’embrasser, j’ai compris que je mentais vraiment très mal.
Le contact de ses douces lèvres était une chose, mais la façon très bestiale qu’elle avait d’enfourner sa langue dans la mienne n’était pas forcément ce à quoi je m’attendais. J’ai pas forcément trouvé ça mal, cependant. Et puis, elle s’est écartée pour se caler contre le mur et m’a dit « Vas y, défonce moi. Prends moi le cul mon salaud. ». L’idée de l’enculer avait quelque chose d’assez jouissif. Je découvris que son entrejambe était complètement trempé. Momo avait vraiment le feu aux fesses et pour mon sexe, il commençait à devenir urgent que je me soulage. J’introduisis donc ma bite dans son cul. A ma grande surprise, cela se fit sans difficulté ; de toute évidence, je n’étais pas le premier à passer par la porte de derrière de ce de garage à bites.
Putain que c’était bon ! Et puis… Et puis…Et puis dans le feu de l’action, elle a fini par ne plus contrôler son pouvoir et j’ai découvert son véritable physique. J’étais en train de la plaquer contre le mur pour lui limer le cul quand je l’ai vu. Dieu du ciel, comment elle est laide en vrai. C’est bien là le problème des métamorphes, toujours à se rendre aussi beaux qu’ils sont repoussants en vrai. On ne m’y reprendra plus. Dorénavant, je me renseignerais sur les pouvoirs des nouvelles.
vous noterez que pour etre sur que personne ne lise ce texte, j'en ai fait un foutrement long. j'ai honte, mais j'ai honte... (surtout du résultat en fait) |
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Je remets le texte de Derox', pour ceux qui l'auraient pas encore lu.
J'écrirais bien un truc, mais Super-Foufoune, ça a déjà dû être fait.
Bravo pour vos textes les jeunes.
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