[Fred le mallrat]

Je vous ai pas raconté mais ca me turlupine.

Je suis rentré de congé le 02/05/2017 et j'ai constaté que la vitre de ma cuisine était brisée (double vitrage) sous le store.
A ma boite au lettre, un message du SDIS indiquant être intervenu en raison de la suspicions d un intoxication médicamenteuse.
S ensuivent 3 jours de bazars où le secretariat de mon bailleur m indique de voir mon assurance, mon assurance ne peut me couvrir puisque la casse pour intoxication medicamenteuse n est pas prise, l'ADIL m indique que ce ne sont pas de menus travaux et que mon propriétaire me doit la jouissance paisible et le clos.. Mon propriétaire m envoie un artisan qui met une planche puis me change tout.

Bon vous allez me dire "tout finit bien".
Entre temps après avoir écouté le SDIS qui me disait que ca pouvait arriver à cause d une erreur de leur part (et donc couvert) ou d un appel.. que certains appels pouvaient être pour ouvrir un logement afin de cambrioler, que eux ne s en souciaient qu après plusieurs appels d un même numeros n aboutissant pas.; que seul un juge pouvait obtenir le numéro.
Là je vais au commissariat pour porter plainte.. j attend deux heures et là on ne veut ni prendre plainte ni rien car je n ai pas de souci au niveau du remboursement (alors que je lis qu on ne peut refuser de prendre une plainte, ce que je trouve logique puisqu un fonctionnaire accompagne une demande mais ne préjuge pas de la réponse).

Là je reçois enfin le courrier du SDIS qui m indique quand même que lorsque personne n'a répondu, les pompiers ont appelé le "requerant" qui a confirmé l'adresse.

J ai la flemme de me retaper 2 heures d attente au commissariat pour rien.. je me pose la question de saisir directement le procureur de la République...
Suis je parano?