Afficher un message
  #836  
Vieux 25/01/2020, 17h51
Avatar de Man-Thing
Man-Thing Man-Thing est déconnecté
Gardien du nexus
-Généalogiste Sénile--Sentinelle du Temple-
 
Date d'inscription: avril 2005
Localisation: Un marais des everglades
Messages: 3 918
Man-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de Fatalis
DC

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »



Freedom Fighters 12

Genre : Fin convenue mais spectaculaire

Les FF règlent leurs comptes avec Superman et Adolf Hitler III, réveillant les consciences des peuples du monde.

Très peu de surprises dans ce dernier numéro spectaculaire. Toujours cet aspect « Blockbuster hollywoodien » très efficace. J’espère que nous reverrons le super groupe dans une autre mini par la même équipe. Franchement une belle surprise cette maxi.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20

MARVEL

Catégorie « Excellent »



Venom : the end 1

Genre : délire cosmique

Après la mort d’Eddie Brock, dont le symbiote a repoussé les limites jusqu’au bout, le dernier symbiote devient malgré lui l’un des derniers protecteurs de l’humanité et engage un duel titanesque et cosmique contre une IA développée par Tony Stark.

Adam Warren pioche peu dans la mythologie développée par Cates à part les codices, laissant de côté le dieu des symbiotes mais utilisant le reste de l’histoire de Venom. Epaulé par le rare Jeffrey « Chamba » Cruz, qui livre les planches les plus spectaculaires de sa carrière, le scénariste dessinateur nous embarque dans une odyssée comparable à l’histoire des Célestes ou des origines de Galactus, poussant les capacités de Venom à leur maximum. On se passionne pour l’histoire de la survie de l’humanité du futur et l’audace du scénariste nous réjouit. Enfin un « The end » original et osé. On avait pas lu aussi bien dans la collection depuis « Hulk The end » de Peter David et Dale Keown, autant dire il y’a une éternité. Le narrateur de cette histoire sans dialogues ne manque pas d’humour et son identité est assez surprenante. La fin est également très belle.

Scénario : 17/20
Dialogues : Sans
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20

Catégorie « Très bon »

Ruins of Ravencroft : Carnage 1, Sabretooth 1 et Dracula 1

Genre : Ravencroft à la sauce Arkham

Ces trois one-shots qui se suivent servent dans leur chronologie servent d’introduction de qualité à une mini-série à venir dédiée au célèbre asile de Marvel, bien que sa réputation soit bien moindre que celle d’Arkham. Le lien de ces one-shots avec le crossover Absolute Carnage tient essentiellement au fait que l’asile était la résidence la plus connue du maléfique symbiote depuis sa création dans les années 90 et qu’il y a rencontré Shriek. La destruction du bâtiment lors du crossover Absolute Carnage permet aux super-héros présents sur place, Man-wolf, Misty Knight et quelques autres que nous vous laissons découvrir mais aussi au maire de New York, Wilson Fisk (pourtant récemment mort dans les pages de Captain America…) de mettre à jour un mystérieux journal lié à sa création qui remonte au 19ème siècle mais dont les racines plongent jusqu’’aux premiers colons du 17ème siècle.

Dans un habile retcon, Frank Tieri donne enfin une dimension surnaturelle et mystique à Ravencroft, donnant au passage une nouvelle origine à Carnage qui le rend particulièrement terrifiant en le liant à Knull, dieu des symbiotes. L’asile accueillera les premiers super-méchants de l’ère contemporaine et particulièrement les plus vieux ou immortels comme Sabretooth, Mister Sinister, le maitre du monde ou encore des personnages troubles comme Loki, Sir Percy of Scandia… Tieri nous régale de la chronologie des lieux et est efficacement épaulé par deux dessinateurs se partageant l’un les chapitres les plus historiquement éloignés (le meilleur des deux), l’autre les scènes se déroulant de nos jours.
Une très bonne surprise pour les fans d’histoire Marvel et les généalogistes ! Espérons que la mini à venir sera aussi bonne.

Scénario : 17/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 16/20

The avengers epic collection TPB 24 : the gatherers strike !

Genre : composite

Ce TPB rassemble les épisodes 360 à 366 d’Avengers volume 1, l’annual 22, la mini-série Avengers : the Terminatrix objective, Avengers strikefile et Avengers anniversary magazine parus en 1993-94.

On continue le très bon run de Harras et Epting dans les épisodes tirés de la série régulière. Les vengeurs menés par un Black knight tourmenté affrontent les mystérieux gathererers de Proctor qui semble en savoir long Dane Whitman mais aussi protéger Circé des éternels et éviter une catastrophe des mains de terroristes Krees tout en faisant la rencontre de Deathcry. Ces épisodes, trop peu nombreux sont de loin la raison numéro 1 d’acheter ce volume et on regrette de devoir se farcir les œuvres bien plus dispensables qui les suivent comme l’annual numéro 22 qui introduit le très 90’s spirit nouvel ennemi de Black Knight, Wraith. Pas un mauvais méchant mais pas passionnant non plus. La back up nous remet une fournée des peu intéressants anachronauts rencontrés dans l’epic collection précédent dans une histoire servant d’introduction à the Terminatrix objective.A noter, la deuxième apparition de Wraith dans la back up d’Avengers 366, qui affronte, outre sa Némesis, un Deadpool à ses débuts, bien plus sérieux qu’aujourd’hui.

La mini Terminatrix Objective de Mark Gruenwald au scénario et l’efficace Mike Gustovitch aux dessins place la sainte trinité des vengeurs face à leurs alter égos des nineties (War machine, US agent et Thunderstrike). Une sombre machination de l’épouse de Kang menace en effet la cohésion de l’espace-temps. C’est agréable à suivre mais comme souvent avec le monde Kang, inutilement compliqué et pas forcément simple. On y perd donc en facilité de lecture malgré des planches très propres. Une mini-série pas indispensable donc.

On poursuit avec Avengers strikefile, un one-shot bien réalisé mais très vintage dans son exécution (horribles effets 3D d’époque notamment). Simple récapitulatif de la guerre Kree-shiar et de ses dramatiques répecussions, on apprend pas grand-chose de plus qu’en lisant Operation Galactic storm. Dommage.

Enfin, Avengers anniversary magazine sent bon le gadget. On s’amuse de sa couverture mettant en scène deux des très populaires X-men (Wolverine et Magneto) pour booster les ventes alors qu’ils n’apparaissent pas dans le numéro (et pour cause !). Les articles et les pin-ups sont très convenus et on se serait bien passé de ce bonus qui prend beaucoup des pages de l’epic collection.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Venom 22 (Numérotation Legacy 187)


Genre : Lutte à mort contre un symbiote


Eddie, abandonné par son symbiote, lutte contre une menace à la puissance démesurée.

Malgré des facilités scanristiques (le retcon bien pratique de l’histoire de l’île notamment), la tension qui se dégage des planches de Bagley et la poursuite de la trame de fond habile du titre font de l’arc narratif Venom island une lecture toujours aussi agréable et prenante.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Symbiote Spider-man : alien reality 2

Genre : A la découverte d’une nouvelle terre

Spidey explore la nouvelle réalité dans laquelle il est tombé et qui diverge de la sienne sur bien des points : un Hobgoblin plus puissant que jamais, un Doctor Strange sans magie et une situation personnelle enviable sont autant des mystères qu’il va devoir percer afin de découvrir la vérité.

David continue à élaborer sa trame de belle manière, bien aidé par un Land toujours aussi convaincant Il ne se passe fondamentalement pas grand-chose dans ce numéro qui reste cependant aussi mystérieux que le précédent.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Conan : serpent war 3 et 4

Genre : Une mini-série très agréable à lire

Conan est toujours aidé de la mystérieuse Dark Agnès et affronte les sbires du dieu serpent Set. Il va faire la jonction avec Solomon Kane et Moon Knight et devoir combattre une menace mystérieuse et plus retorse que le dieu reptile…

Malgré un scénario parfois nébuleux et pas très bien expliqué, le combat des 3 créations d’Howard et du héros aux racines mystiques de Marvel se termine de manière très satisfaisante, même si le dernier numéro n’est pas dessiné par le très bon Lucca Pizzari mais par le moins agréable Ig Guara et c’est bien dommage de finir sur une note graphique moins réussie.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20

Catégorie « Bon »

Fantastic four 18 (numérotation Legacy 663)

Genre : FF vs Overseer

Les FF demandent des comptes au mystérieux Overseer, responsable de bien des malheurs de son peuple. Giant baston ensues.

Un numéro spécial baston assez inutile dont les dessins ne sont malheureusement pas du seul Paco Median, qui se fait aider deux autres artistes pour un résultat assez laid. Le numéro suivant conluera le meilleur arc des FF de Slott jusqu’ici et on espère être moins déçus que par ce numéro très basique.

Scénario : 14/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20

Catégorie « Sympa »

Miles Morales : the end 1

Genre : Bateau

Après un cataclysme majeur, un vieux Miles Morales a construit un refuge pour les survivants. Il est menacé par des pillards menés par un Captain America de pacotille.

Un one-shot ennuyeux et dispensable. Du lu et relu mille fois et un style de dessin qui n’est pas du tout ma came. Et encore, je l’ai lu avant Venom the end 1, ce qui fait que ma note reste assez élevée.

Scénario : 12/20
Dialogues : 13/20
Dessins, encrage, couleur : 12/20
Note finale : 12/20

Web of Venom : The good son 1

Genre : Surnuméraire

Pendant que Venom est coincé sur son île, son parent est gardé par Harry et Liz Osborn en compagnie de leur fils et du symbiote kree Sleeper. En back up, on se plonge dans les évènements inintéressants qui ont mené ce dernier sur Terre.

Un numéro creux qui n’apporte rien à l’histoire principale malgré des dessins plutôt réussis dans les deux scenarii. Ça veut faire peur mais c’est honnêtement ennuyeux et vain. Vivement Venom 23, qui est d’un autre calibre.

Scénario : 12/20
Dialogues : 12/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 12/20

Ghost rider 4 (numérotation Legacy 240)

Genre : Le plus mauvais numéro jusqu’ici



Ghost rider/ Johhny Blaze réalise le casse du siècle à Las Vegas pour des raisons que lui seul comprend tandis que Ghost Rider/ Danny Ketch cherche un allié dans les limbes et fait une mauvaise rencontre…

Le scénario de ce runqui démarrait plutôt bien vire à l’enchaînement de scènes chocs sans queue ni tête pour l’instant et on a même plus le plaisir des planches de Kuuder, celui-ci, souffrant, se faisant fortement aider par un certain Juan Frigeri pour un résultat très décevant. Le cliffhanger final nous est présenté comme moment clé de l’univers de Ghost rider dans le courrier des lecteurs mais on s’en fiche éperdument et on rit de la naïveté de Danny Ketch.
En bref, le plus mauvais numéro jusqu’ici et un run décevant pour l’instant.

Scénario : 12/20
Dialogues : 12/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 12/20
Réponse avec citation