[Man-Thing]

Il commence à faire froid. Le temps idéal pour penser à la fin...Celle de Bakemonogatari mais aussi celle des morts de Sakurako~san no Ashimoto ni wa Shitai ga Umatteiru!



Le chapitre final d'une série culte!


En italique, les séries de l'été qui continuent cet automne.

Catégorie “excellent”

1/ Owarimonogatari 18/20
2/ Sakurako~san no Ashimoto ni wa Shitai ga Umatteiru 18/20


Catégorie “très bon”

3/ Lupin III 2015 16/20
4/ Young Blackjack 16/20
5/ Utawarerumono : Itsuwari no kamen 16/20
6/ Ushio to Tora 16/20
7/ Shingeki ! Kyoujin chuugakkou 15/20

Catégorie “bon”

8/ Ore ga ojou~sama gakkou ni “Shomin sample” Toshite gets Sareta Ken 14/20
9/ Subete ga F no naru : the perfect insider 14/20
10/ K : return of kings 14/20
11/ One punch man 14/20
12/ Mobile suit Gundam : Iron blooded orphans 14/20
13/ God eater 14/20
14/ Owari no seraph : Nagoya kessen hen 14/20
15/ Heavy object 14/20
16/ Garo : Guren no tsuki 14/20
17/ Miss Monochrome the animation 3 14/20
18/ Hackadoll the animation 14/20

Catégorie “sympa”

19/ Kagewani 12/20
20/ Onsen yusei Hakone~chan 12/20
21/ Komori~san wa Kotowarenai ! 12/20
22/ Kowabon 12/20



Catégorie “excellent”

1/ Owarimonogatari (= « La fin de l’histoire »)

Araragi est de retour ! Et cette fois, c’est la dernière, car Owarimonogatari boucle la saga Bakemonogatari, entamée en adaptation DA par le studio Shaft voilà 6 ans.

Après Bakemonogatari, Nisemonogatari, Monogatari second season et une pléthore d’arcs de cinq épisodes, Owarimonogatari va lever le voile sur tout un tas de mystères en s’intéressant à une nouvelle héroïne apparue il y’a peu, Oshino Ougi, la nièce du guérisseur Oshino Meme, que l’on a plus vu depuis 2009.
Ougi est un personnage inquiétant qui semble savoir beaucoup de choses et avoir une grande aptitude à faire parler les gens. Au début de cet arc, elle confronte notre héros au sujet d’une affaire qu’il a oublié et qui remonte à ses années collège. Ils sont prisonniers d’une pièce qui ne devrait pas exister et ne pourront en sortir tant que le mystère ne sera pas résolu.


Owarimonogatari promet d’être épique en nous faisant rentrer dans l’esprit de la dernière héroïne apparue dans les épisodes parus avant celle-ci, qui semble liée à Suruga.
Le passé d’Ararararagi (désolé, ma langue a fourché ! ) va nous être révélé également. Le chevalier pervers nous cache il des choses ? En tout cas, je suis hyper hypé pour cette fin d’un des meilleures séries de la fin des années 2000 début 2010.

Et vous devriez aussi ! Des personnages inoubliables, des dialogues sarcastiques riches en sous-entendus, une ambiance faite de décors dépeuplés et de couleurs vives qui ont parachevé le style graphique Shaft (initié par leur Zetsubo sensei) et a été souvent copié.mais jamais égalé.

Précision d’importance : Ne regardez SOUS AUCUN PRETEXTE cette saison avant celles qui l’ont précédée. Vous ne pigeriez rien.

Episodes vus : 2/ 12



Le vrai titre de la série : Bakemonogatari, chapitre final
Si vous aimez : la saga Bakemonogatari, les anime TRES bavards, les réalisations top notch, les pivotements de tête langoureux
Note, pour l’instant : 18/20

Taux de moe : 20% Pour l’instant, la plus sage des saisons, de très loin.
Taux de harem : 70% La série est un harem déguisé mais la plupart des filles courent après Araragi

2/ Sakurako~san no Ashimoto ni wa Shitai ga Umatteiru (= « Il y’a un cadavre enterré aux pieds de Sakurako~san »)

Episodes vus : 1/ ?



Sakurako~san est une oujo~sama au tempérament très excentrique : elle est passionnée par les squelettes, animaux comme humains et en a fait son métier.
Fille d’un célèbre médecin-légiste, elle est capable de dater l’âge d’un cadavre, ce dont il est mort et comment par l’observation et la connaissance. Et ça tombe bien, car avec notre protagoniste qu’elle exploite comme déterreur d’os, elle a une fâcheuse tendance à tomber sur des squelettes de victimes d’homicides…

Attention, choc de la rentrée ! Cet anime très documenté, qui évoque fortement la série américaine Bones est à la fois superbe et passionnant !
Sakurako~san est un personnage à la fois étrange et charmant, qui n’est pas lié par nos conventions sociales, ce qui est toujours à deux doigts de lui jouer des tours, comme lorsqu’elle essaie de faucher à la police un crâne vieux d’un siècle qu’elle a déterré par hasard et qu’elle estime être sa « récompense » pour avoir aidé l’enquête sur un homicide.

Cette série est sombre mais avec une bonne dose d’humour et une réalisation somptueuse, notamment de très beaux CG. Ça démarre très fort.

Le vrai titre de la série : Bones, the animation
Si vous aimez : la série TV Bones, Tasogare no amnesia , les héroïnes cintrées
Note, pour l’instant : 18/20

Taux de moe : 20% Sakurako~san a un charisme certain et des moues adorables quand elle est prise en faute mais ça reste réaliste.
Taux de harem : 0% Rien

Catégorie “très bon”

3/ Lupin III 2015

Episodes vus : 1/24



Lupin III se marie ! L’heureuse élue n’est pas sa complice et rivale Mine Fujiko mais la riche héritière d’une des familles les plus influentes de Saint Marin et héritière du trône.
Cette nouvelle laisse pantois ses complices le tireur d’élite Jigen et le samouraï Ishikawa Goemon XIII. Lupin s’est-il vraiment racheté une conduite ?

Après un somptueux préquel consacré aux origines de Mine Fujiko en 12 épisodes et deux épisodes spéciaux très sombres liés à la mort de Jigen, ce Lupin III 2015 est ce qui s’approche plus d’une quatrième saison pour le descendant du gentleman cambrioleur.

Bien sûr, ça démarre sur les chapeaux de roue, avec de l’humour et de l’action en veux-tu en voilà. On note également le retour du ton plus léger lié au Lupin des séries TV d’origine, loin des sombres productions évoquées plus haut.

Laissez-vous embarquer dans un tour de Saint Marin et de l’Italie, vous ne le regretterez pas.

Le vrai titre de la série : Lupin III saison 4
Si vous aimez : Lupin III et sa bande, les anime enlevés et joyeux, l’action
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 20% ça reste discret pour l’instant mais avec Fujiko dans les parages, ça devrait vite grimper.
Taux de harem : 0% Triangle amoureux ? On ne sait pas si la femme de Lupin l’aime ou pas tant elle est inconséquente

4/ Young Black Jack

Episodes vus : 2/12



Nous sommes en 1968 à Tokyo et les révoltes étudiantes et affrontements battent leur plein. Black Jack est un étudiant en médecine et déjà un génie en chirurgie avec un passé mystérieux et violent que raconte son corps couturé de cicatrices.
En pleine pénurie de médecins, il est réquisitionné par une jeune interne pour soigner les blessés ayant impliqué une voiture et un train. Un jeune garçon ayant perdu une main et une jambe et dans un état critique est amené à l’hôpital et le médecin qui l’ausculte décide d’amputer mais Blackjack propose à ses parents de greffer les membres perdus. Ainsi commence la première opération de sa carrière.

Young Black Jack est adapté du manga récent (en cours de parution chez nous) inspiré par l’œuvre légendaire de Tezuka, qui ne trahit pas son style cartoon typique mais le rend plus réaliste.
Chaque épisode présente une opération dans des conditions critiques et rapproche Black Jack de son expertise bien connue.
Série particulièrement prenante et solide qui passionnera les gens intéressés par le sujet ou ceux qui aiment les anime avec des dilemmes moraux et de la tension.

Le vrai titre de la série : Les premières opérations de Blackjack
Si vous aimez : Le personnage de Black Jack, les anime sur la médecine, les mangas de Tezuka.
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 30% Blackjack a l’occasion de montrer son torse viril dénudé à chaque épisode
Taux de harem : 0% Rien

5/ Utawarerumono : Itsuwari no kamen (« Celui dont on chante les louanges : les faux masques »)

Episodes vus : 2/25



Un jeune homme se réveille en tenue de malade d’hôpital japonais contemporain. Amnésique, il se retrouve pour une raison inconnue dans un monde d’heroic fantasy inspiré par l’histoire du Japon et dont la forme de vie dominante est un peuple d’hommes-chats.

Il échappe de peu à la mort grâce à l’une d’entre elle, une apothicaire et marchande itinérante, l'adorable Kuon, qui décide de s’occuper de lui, se sentant responsable de cet inconnu depuis qu’elle l’a sauvé. Las, le nouveau venu semble un véritable empoté…


Voilà une vraie bonne surprise. Cette série adapte le deuxième jeu de la trilogie Utawarerumono, adapté en un très bon anime en 2006, dont la fin était particulièrement surprenante.
Cet anime prend le temps de décrire le monde et la vie quotidienne de ses habitants avec un aspect technique superbe et une ambiance chaleureuse et prenante. Les premiers épisodes sont particulièrement réussis.

Le vrai titre de la série : Utawarerumono 2
Si vous aimez : la série éponyme de 2006, l’heroic fantasy dans un cadre nippon, les filles chats
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 40% Kuon, fille chat moe en diable, qui a même une capuche qui épouse la forme de ses oreilles ! Que du mignon, pas de sexy.
Taux de harem : 0% Nyet

6/Ushio to Tora (= Ushio et Tora”)

Episodes vus : 15/26



Ushio voyage à travers le Japon pour retrouver sa mystérieuse mère, qu’il n’a jamais connu, toujours accompagné du démon Tora, devenu son ami.
Il fait la connaissance des candidats entraînés pour manier sa lance magique, bien décidés à la lui prendre, s’en jugeant plus digne que lui.

La série continue avec un bonheur sans cesse renouvelé. C’est énergique, fort et passionnant à chaque fois.

Le vrai titre de la série : Ushio to Tora 2015
Si vous aimez : les anime shonen et fantastique horreur des années 90 (Ninja scroll, la cité interdite…), les relations fusionnelles, les démons tsundere
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 0% Pour l’instant, nul
Taux de harem : 20% Triangle amoureux suggéré

7/ Shingeki ! Kyoujin chuugakkou (=”L’attaque! Le college des titans”)

Episodes vus : 2/12



Eren Jeager nourrit une haine intense pour les titans. En effet, ceux-ci persécutent les collégiens humains pour leur voler leur bouffe ! Il a lui-même été victime de l’un d’entre eux, particulièrement colossal, et a juré de se venger.
Ça tombe bien, le collège où il va étudier est mixte et accueille humains comme titans, séparés par un grand mur mais qui se retrouvent pour les activités scolaires, comme le foot…
Et un mystérieux club secret interdit par le directeur va lui permettre de prendre sa revanche.

Voici la version parodique du désormais célèbre anime « L’attaque des titans » dont le manga cartonne chez nous. C’est simple : soit vous avez vu l’œuvre d’origine et vous aimez vous marrer, soit vous passez votre chemin car vous allez louper les multiples références parodiques.

Le vrai titre de la série : Ces trolls de titans
Si vous aimez : Shingeki no kyojin, les anime parodiques
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 50% Des SD adorables partout
Taux de harem : 30% Triangle amoureux discret si on prend en compte le trio Jean/Misaka/Eren mais la série ne fait que l’évoquer pour un gag.

Catégorie “bon”

8/ Ore ga ojou~sama gakkou ni “Shomin sample” Toshite gets Sareta Ken alias Shomin sample(= « L’histoire dans laquelle j’ai été kidnappé par un lycée de jeunes filles de bonne famille pour devenir leur roturier témoin »)

Episodes vus : 1/12



Notre héros est un lycéen lambda tout ce qu’il y’a de plus basique. Un jour, il est kidnappé par de musculeux militaires qui le déposent devant un lycée pour jeunes filles de bonne famille isolé dont l’existence est inconnue du grand public.
La directrice et la bonne en chef lui expliquent alors les raisons de son enlèvement : il doit servir de « roturier témoin » et sensibiliser les jeunes filles au monde moderne qu’elles vont découvrir à la fin de leur scolarité.
En effet, celles-ci sont éduquées selon des règles traditionnelles pour devenir des yamato nadeshikos, des femmes japonaises « parfaites » selon le goût japonais, capables de réunir des qualités comme la douceur, la force de caractère, le soutien du mari, la pratique d’un instrument de musique et bien d’autres choses, dont les règles de la bonne société.

Or, les dangers d’internet ou encore des doujins yaoï ont conduit plusieurs anciennes élèves à faire tomber en disgrâce la réputation de l’école. L’idée est donc de les sensibiliser en douceur au monde des « roturiers » en leur faisant fréquenter notre héros, que les informations erronées de la directrice et de sa servante on conduit à penser qu’il est gay et fantasme sur les hommes bodybuildés, ce qui fait qu’il n’est pas un danger pour ces dames. Elles laissent lui disent qu’elles seraient amenées à le châtrer s’il s’avérait être hétérosexuel…

Cet anime au titre méga long comme les aiment les nippons commence très fort car il réussit à être assez original pour un harem, en jouant principalement sur l’humour omniprésent mais aussi sur le créneau encore pas trop usé des ojou~samas.

En tout cas, le premier épisode promet une bonne marrade.

Le vrai titre de la série : Les ojou~samas en folie
Si vous aimez : les ojou~samas, les harems comiques
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 40% Pas mal de plans sur les collants des héroïnes, véritable fétichisme du protagoniste, mais ça reste sage.
Taux de harem : 100% Un mec seul dans un lycée de filles.

9/ Subete ga F no naru : the perfect insider (=« Tout devient F : the perfect insider»)

Episodes vus : 1/11



Une série qui démarre très lentement. Une jeune femme riche est amoureuse d’un de ses profs de fac qui enquête sur une jeune femme qui a tué ses parents pour une raison inconnue et qui nie sa culpabilité. Grâce à ses connexions, notre héroïne parvient à rencontrer cette dernière qui la surprend par la vivacité de son esprit et la finesse de ses observations, dénotant une grande intelligence. Elle s’en ouvre à son compagnon à la fois pour susciter son intérêt et le rendre jaloux.

C’est à peu près tout ce qui se passe dans ce premier épisode assez déroutant. Il semble bien qu’il s’agisse d’une série policière réaliste et assez calme.
Techniquement, c’est très beau. On attend juste d’en savoir plus.

Le vrai titre de la série : L’anime mystère
Si vous aimez : les mystères, les anime policiers
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 20% L’héroïne est assez moe, pour un anime réaliste. La meurtrière a quelque chose du même genre aussi.
Taux de harem : 0% Rien pour l’instant

10/ K : return of kings

Episodes vus : 2/13



Cet anime fait suite à l’anime K et au film K : missing kings.
On y suit un monde dans lequel les épées de Damoclès, des ouvrages titanesques, flottent dans le ciel. D’une origine mystérieuse, elles ont changé la face du Japon pendant la Seconde guerre Mondiale dans des proportions inexpliquées (ont-elles changé l’histoire du monde ?).

Leur principal effet est de donner des pouvoirs à certains individus, les rois. Chacun est associé à une couleur et représente une force politique qui tente de maintenir son influence en donnant des pouvoirs à son gang d’affidés.
De manière générale, les épées de Damoclès confèrent une force, une agilité, une vitesse et une endurance surhumaines. Les rois peuvent même voler. Chaque couleur apporte en plus des pouvoirs spécifiques :

Les rouges ont la maîtrise du feu et sont des loubards au grand cœur qui suivent leurs envies dans un relatif chaos.
Les bleus sont leurs ennemis attitrés. Sorte de shinsengumi obéissant au gouvernement nippon et suppléant les forces de police pour tout ce qui concerne rois et épées de Damoclès, ils ont un grand pouvoir légal et leur épée tutélaire semble leur conférer des pouvoirs liés à l’escrime et aux champs de force.
Enfin, les verts, apparus dans le film K : missing kings, sont un gang axé sur la technologie, les jeux vidéo et les réseaux sociaux. Leur roi est inconnu de ses propres hommes de main (plus nombreux et moins soudés que chez les autres couleurs) et il leur donne ou enlève leurs pouvoirs en fonction de la réussite de leurs missions. Ceux-ci comprennent des effets explosifs, caméléon ou de vitesse accélérée.
Ils constituent l’ennemi principal de cette saison 2

K return of kings est un anime visuellement et musicalement bluffant. On en prend plein les yeux et les oreilles ! Il suffit de voir l’épisode 1 de cette saison pour comprendre que le studio s’est donné à fond.
Les seuls problèmes majeurs de la saga sont le manque d’attachement qu’on a pour ses personnages, assez clichés dans l’ensemble et son scénario parfois vraiment nébuleux, notamment pour tout ce qui touche aux rois et aux épées de Damoclès, qui semblent surtout là pour la rule of cool.

Notez qu’il est très conseillé de voir la saison et le film précédent pour comprendre les tenants et aboutissants mais qu’il est tout de même possible de s’immerger directement dans cette seconde saison sans problème majeur de compréhension.

Le vrai titre de la série : Gangs stylés saison 2
Si vous aimez : la saison 1 et le film, les BO et les couleurs qui claquent, les personnages stylés, Durarara !!
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 40% C’est plein de bishonen stylés. On a aussi une Miss fanservice qui est l’objet de bien des gros plans dans l’épisode 1 et Anna est là pour le côté mignon.
Taux de harem : 0%

11/ One punch man

Episodes vus : 2/12



Saitama est un super-héros amateur, qui aide les gens quand tout semble perdu, « comme passe-temps », comme il dit.
S’il est si blasé, c’est parce que son entraînement l’a rendu si puissant qu’il tue tout adversaire d’un simple coup de poing, sans le moindre combat !

Il est devenu blasé de la vie et recherche un adversaire digne de lui en continuant à vivre modestement, étant le dernier recours contre les monstres les plus puissants. Un jour, un jeune cyborg en quête de vengeance lui demande de l’entraîner…

Anime comico-shonen de baston phénomène au Japon, tiré d’un web comic très mal dessiné et devenu un manga à succès sous le trait de l’auteur d’Eyeshield 21, One punch man démarre de manière agréable et intrigante. Pouvoirs du héros oblige, il est difficile de créer un univers cohérent autour de ce perso presque indestructible et c’est pour l’instant la faille majeure de cet anime mais nous n’en sommes qu’au début et j’espère être agréablement surpris. J’aime bien le postulat de l’univers tout à l’égout où tout peut arriver (E.T, mutants, super-héros…) et où la ville est détruite partiellement chaque jour (les assurances et le bâtiment doivent rouler sur l’or).

A voir sur le long terme.

Le vrai titre de la série : Un pain c’est tout
Si vous aimez : les super-héros, Docteur Slump
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 30% La femme moustique à la brève carrière avait une tenue moulante
Taux de harem : 0% Rien pour l’instant

12/ Mobile suit Gundam : Iron blooded orphans

Episodes vus : 2/25



Sur Mars, une colonie terrienne est convoitée par le duché de Zeon, qui souhaite déclencher une révolte à l’égard de la Terre et un rattachement de fait de la colonie à ses intérêts.
Une attaque est donc planifiée sur le camp sous équipé et peuplé essentiellement de jeunes hommes exploités et maltraités, seuls capables de piloter les robots de travail locaux car ils nécessitent une interface implantée dans le corps de façon douloureuse.

Pendant ce temps, la riche héritière d’une des familles les plus influentes de Mars décide de visiter le camp dans le cadre de sa croisade personnelle contre la pauvreté qui règne sur la planète. Elle va se retrouver au cœur du conflit entre les factions et d’une lutte d’influence.

Première fois que je regarde un anime lié à Gundam de ma vie car je n’ai jamais voulu m’attaquer à ce gigantesque morceau de l’animation japonaise dont nous avons au moins un spin off par an, c’est dire sa popularité et sa longévité.
Ce qui m’a motivé c’est que le réalisateur du très bon Anohana est aux manettes.

Pour l’instant, on a un anime dynamique et assez joli, aux enjeux un peu nébuleux par moments mais assez riche et surtout très accessible aux néophytes.
Très beaux combats de robots également.

Le vrai titre de la série : Gundam millésime 2015
Si vous aimez : l’univers de Gundam, Aldnoah zero, les hommes torse poil
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 30% Les pilotes musclés doivent combattre torse nu pour se synchroniser avec leur machine…
Taux de harem : 30% Rien, mais un embryon de triangle amoureux

13/ God eater

Episodes vus : 9/13



Notre héros est dans une situation peu enviable mais ses amis semblent l’accepter comme donneur d’ordres. Pendant ce temps, l’un d’eux à découvert un complot qui implique une partie des scientifiques…

Série un peu à la bourre de l’été, ça reste classique mais agréable, notamment avec une animation toute en 3D très convaincante.

Le vrai titre de la série : Monster hunter the animation
Si vous aimez : Black bullet, le jeu d’origine, les futurs apocalyptiques, Monster hunter, Shingeki no kyojin
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 30% Alisa contribue beaucoup au fanservice depuis son apparition à l’épisode 3.
Taux de harem : 30% ça commence à ressembler à un début de triangle amoureux.

14/ Owari no seraph : Nagoya kessen hen (=« Le séraphin de l’apocalypse : chapitre de la bataille de Nagoya»)

Episodes vus : 1/12



Notre protagoniste est désormais un militaire aguerri de la lutte contre les vampires pour la survie de l’espèce humaine. Son accès de rage surhumaine à la fin de la saison 1 le rend suspect aux yeux de la mystérieuse famille de Shinoa, qui a donné aux humains les moyens d’asservir les démons dans des armes et de se battre à armes égales contre les vampires.

Notre héros est convoqué pour un interrogatoire musclé…

Suite de la série débutée en début d’année. On retrouve avec un certain plaisir ce monde post apo simple et efficace et sa lutte entre humains et vampires, certes classique mais bien fichue.
L’attrait principal de la série demeure toute de même l’acerbe et truculente héroïne, Shinoa, qui prend un malin plaisir à taquiner notre lourdaud de héros. Sa doubleuse, Ayami Saori, est juste excellente dans le rôle.

Le vrai titre de la série : L’attaque des vampires saison 2
Si vous aimez : les shonen de baston bien foutus, les mondes post apocalyptiques, les vampires, Shingeki no kyojin
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 20% La facétieuse Shinoa joue parfois ce rôle mais ça reste très sage
Taux de harem : 30% Triangle amoureux

15/ Heavy object

Episodes vus : 2/ ?



Dans un futur proche, une arme d’un type nouveau, « l’objet », a révolutionné la guerre.
Cette sphère hérissée de canons et de lance-missiles, haute de plusieurs centaines de mètres et virtuellement indestructible grâce à son blindage a été copiée par chaque pays.
Par son coût délirant et la maintenance importante qu’elle nécessite, il n’est possible d’en produire et utiliser qu’un seul à la fois.
Les guerres sont désormais conduites par duels d’objets, le vainqueur imposant ses conditions.
Notre héros est un jeune ingénieur devenu militaire afin d’étudier l’objet de son pays. Il va faire la connaissance de son pilote, la mystérieuse princesse, un personnage renfermé.
Un jour, un objet ennemi d’un modèle plus récent passe à l’attaque.

Cet anime adapté d’un light novel dispose d’une belle réalisation (surtout le superbe character design) et est suffisamment original pour intriguer Il a beaucoup de scènes tranche de vie comiques qui viennent contrebalancer la noirceur de son monde réaliste.

Une bonne surprise pour l’instant.

Le vrai titre de la série : Military Pac-man
Si vous aimez : les anime de robots, le fanservice, les anime tragicomiques
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 60% Centré sur la princesse et sa tenue bizarre qui devient révélatrice quand elle est serrée et sur la supérieure de nos héros, avec ses bas et la mini-jupe de son uniforme. Pas mal de vannes sur le sujet aussi.
Taux de harem : 0% Rien pour l’instant

16/ Garo : Guren no tsuki (=«Garo, la lune pourpre»)

Episodes vus : 1/ ?



Garo revient pour une nouvelle saison. Cette fois-ci les démons menacent le pan japonais de ce monde, à une époque indéterminée mais antérieure à l’ère Meiji.

L’armure dorée refait son apparition dans les mains d’un jeune homme de condition plutôt modeste qui lutte contre leur influence sur les cœurs avides humains. Il est aidé d’un jeune garçon débrouillard et d’une belle alchimiste qui a des talents de joueuse de koto

Le vrai titre de la série : Garo saison 2
Si vous aimez : la saison 1, la série live, les metal heroes, le shinto
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 20% Tenue parfois un peu sexy pour l’alchimiste makaï
Taux de harem : 0% Nichts

17/ Miss Monochrome the animation 3

Episodes vus : 2/13



Miss Monochrome entame sa tournée et crée des produits dérivés pour la promouvoir.
Toujours entourée de Ru~chan son aspirateur muet et conscient aux talents de chef opérateur sons et lumières, de son manager (un simple manager de konbini) et de la psychopathe de la voirure qui lui sert depuis peu de lien avec l’industrie, parviendra elle à briller davantage ?

Petite série comique composée d’épisodes de dix minutes, opening et ending compris, cette saison 3 démarre bien et juste après la saison 2 diffusée cet été. On a pas le temps de souffler !

Le vrai titre de la série : Miss Monochrome saison 3
Si vous aimez : les saisons 1 et 2, Horie Yui, Vocaloid
Note au final : 14/20

Taux de moe : 30% Miss Monochrome et quelques personnages féminins sont moe
Taux de harem : 0% Miss Monochrome est une gynoïde insensible à tout sentiment (à part son humour spécial)

18/ Hackadoll the animation

Episodes vus : 2/13



Le trio des hackadolls 1, 2 et 3, des creatures virtuelles, se la coulent douce par pure feignasserie dans leur univers de réalité virtuelle. Un jour, leur superviseuse les oblige à aller sur terre imiter leurs illustres prédécesseuses et contribuer à faire évoluer et se réaliser l’humanité. Elles commencent petit avec une fujoshi qui rêve de devenir mangaka mais ne parvient pas à se motiver.

Hackadoll est une série comique qui ne vole pas haut mais qui fait le job pour divertir en moins de dix minutes, opening compris.

Le vrai titre de la série : Les sous-douées
Si vous aimez : les héroïnes barrées, les séries courtes et dynamiques
Note, pour l’instant : 13/20

Taux de moe : 50% Les héroïnes sont moe et ont des tenues moulantes
Taux de harem : 0% Rien

Catégorie “sympa”

19/ Kagewani

Episodes vus : 2/13



Banba Sousuke , un scientifique, recherche la trace d’animaux fabuleux et est un expert reconnu nationalement en cryptozoologie. En furetant sur le net, il découvre divers cas qui ont coûté la vie à des personnes et se rend sur place pour enquêter après les faits.

Kagewani joue avec pas mal de succès de son format court (10 minutes en comptant l’ending). A travers les documents que visionne notre protagoniste ou par des flashbacks, toujours en vue subjective, on découvre de quoi sont mortes les victimes, ce qui implique toujours une bestiole surnaturelle de type dinosaure, homme des neiges…

Kagewani possède une animation minimaliste à base de panneaux peints et glissants suivant la tradition du kamishibai, ce qui lui donne un style très Yamishibai dont on ne se plaindra pas.

A voir sur la longueur.

Le vrai titre de la série : Enquêtes cryptozoologiques
Si vous aimez : les deux saisons de Yamishibai, la cryptozoologie
Note, pour l’instant : 12/20

Taux de moe : 0% Pas le propos
Taux de harem : 0% Pas le propos

20/ Onsen yusei Hakone~chan (= « Hakone~chan, l’esprit des onsen »)

Episodes vus : 2/13



Notre protagoniste est amoureux de son amie d’enfance mais n’ose pas se déclarer. En faisant un vœu, il va provoquer l’apparition de la déesse des onsen de son patelin, Hakone~chan. Celle-ci a vu ses pouvoirs décliner avec le temps et à l’apparence d’une petite fille malgré son grand âge, ce qui va créer des quiproquos. Elle est pourtant bien décidée à aider le couple en devenir à se déclarer.

Série d’épisodes de 5 minutes ending compris, cet anime est amusant et fait sourire. C’est déjà pas mal pour ce type de format.

Le vrai titre de la série : Déesse au rabais
Si vous aimez : les séries courtes, les onsen, l’humour basé sur la gêne ressentie
Note, pour l’instant : 12/20

Taux de moe : 40% Principalement centré sur la mignonne petite déesse des onsen, dont le ton docte contraste avec l’apparence
Taux de harem : 0% Rien

21/ Komori~san wa Kotowarenai ! (=«Komori~san ne sait pas dire non !»)

Episodes vus : 2/12



Komori~san est une élève de lycée qui ne sait pas dire non. Cela lui crée bien des embarras dans la vie quotidienne, même si elle est grande et forte. Pire, son caractère est bien connu et semble attirer tout un tas de casse-pieds qui lui demandent leur chemin ou encore de porter des trucs.
Ses copines essaient de lui expliquer que son tempérament trop serviable les attire.

Série d’épisodes courts de 5 minutes ending compris, c’est du tranche de vie amusant mais sans ambition qui joue beaucoup sur les situations embarrassantes qui font tant rire les nippons.

Le vrai titre de la série : Komori~san doit apprendre à dire non
Si vous aimez : les séries courtes, l’humour sociétal nippon
Note, pour l’instant : 12/20

Taux de moe : 40% Une partie des gags tourne autour de l’opulente poitrine de Komori~san
Taux de harem : 0% Nyet

22/ Kowabon (=«L’effrayant festival»)

Episodes vus : 2/13



Série de courts épisodes de cinq minutes, ending compris, Kowabon présente une courte histoire de fantôme (pour l’instant) à chaque épisode, le tout vu à travers les yeux de la caméra d’un PC pendant une conversation ou celle d’un ascenseur, le tout à l’aide la rotoscopie (on filme une scène et on la prend comme base pour redessiner et animer le tout en restant le plus possible proche de la réalité).

Série crée pour la télévision, Kowabon rencontre plusieurs problèmes liés à l’originalité des sujets (quoi de plus bateau qu’une apparition de fantôme en fiction ?) et la façon dont la peur est amenée progressivement.
On essaie de nous mettre en prise avec une situation (comme si nous discutions par skype avec une amie dont on voit des formes effrayantes dans l’appartement qu’elle ne perçoit pas ou encore comme si nous étions le vigile chargé du visionnage des caméras d’un ascenseur) mais la distance est trop grande avec la réalité. Kowabon est juste là pour effrayer et ne possède aucun scénario ou explication quelconque, ce qui finit par ennuyer très vite le spectateur.

Le vrai titre de la série : Horreur pas au point
Si vous aimez : les deux saisons de Yamishibai, la rotoscopie
Note, pour l’instant : 11/20

Taux de moe : 0% Pas le propos
Taux de harem : 0% Pas le propos