THE DISCIPINE #1
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Posté par Slobo |
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The discipline (Image ; Scénariste Peter Milligan ; Atist Leandro Fernandez)
Pitch :
Une jeune femme en manque de relation dans son couple et contacter par un jeune homme assez bizarre mais qui éveille quelque chose en elle. Lui cherche juste à avoir une pupille capable de vaincre leur ennemi.
Avis :
Des dessins assez noir qui vont avec une partie de l'histoire. Les auteurs n'hésite pas a aller plus loin que la suggestion dans les actes charnels. Une partie de moi est curieux l'autre n'est pas emballer par l'histoire et aura du mal à trouver l'envie de lire la suite. Pour quoi faire ?
Conclusion : Oh, you have potential C'est pas faux ! Peut-être ! Mais pas assez ... |
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Posté par archerhawke |
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Discipline #1 Mars 2016
Nouvelle série de Peter Milligan chez Image. Dans ce comics on suit une jeune new yorkaise, Melissa, qui a tout pour elle et pourtant et très seul. Son mari gagne des millions, mais n’ai jamais là et ne lui adresse presque jamais la parole. Sa famille l’envoi balader car ils pensent qu’elle veut mettre sa “réussite” en avant. Et puis, un jour, alors qu’elle regarde une peinture dans un musée, un inconnu bizarre l’aborde. Il va devenir son amant. Je n’en attendais rien de particulier et pourtant j’ai réussi à être déçu de ce premier numéro. Il est très sombre, très orienté cul, mais l’histoire que nous sert le scénariste est complètement flou et n’arrive même pas à être une excuse compréhensible pour les scènes de sexes. |
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Un numéro d'introduction qui donne quand même pas mal de pistes mais que l'on referme avec un sentiment d'inachevé. Quand
Peter Milligan s'attaque au quotidien et à l'environnement de Melissa il touche juste. Le côté sexe ne m'a pas gêné autre mesure car on est dans clairement dans l'amour et la mort, Eros et Thanatos. Le tableau de Goya avec Venus et le Satyre montre bien l'orientation prise par le scénariste. Après il faut adhérer et je dois dire que les deux dernières pages m'ont mis le doute. Des satyres sur Terre, une secte satanique pourquoi pas, mais il y a un côté SF à la fin qui m'a dérangé. Pas contre l'entente avec
Leandro Fernandez (The Names) se voit dans chaque planches. C'est splendide et il y a beaucoup de sensualité, de bestialité et de sexualité tout le long du numéro.
C'est très intrigant comme récit. Je serais de la suite car Milligan semble à son aise et que ce type d'histoire avec les thèmes véhiculés n'est pas si courant.