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Vieux 07/02/2017, 00h55
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
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Posté par FredGri
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Bon dieu, Cosey, Grand prix d'Angouleme 2017 !!!!!!!!!!

http://grandprix.bdangouleme.com/

On peut ne pas être particulièrement fan de ses albums, on peut se dire que Larcenet ou Ware ca aurait été plus couillu, mais quand même, comment ce fait il que Cosey n'ai pas déjà eu ce grand prix ?
Après c'est plus la reconnaissance qui me touche, plus que le fait que ce soit Le-Grand-Prix, ce dont je me moque éperdument !!! Mais lire "Saigon-Hanoi" ou "Joyeux Noel, May", ou "La recherche de Peter Pan" ou même "Voyage en Italie" ça a réellement changé ma vision de la BD à un moment donné, c'était a la fois sans compromis, sensible et extrêmement personnel, avec suffisamment d'audace pour me plaire !
(Au passage lisez ces albums, j'y retourne de ce pas !)
hop j'ai pris saigon-hanoi et voyage-en-italie- à la bibliothèque

Dans mes lectures récentes Emmanuel Guibert m'a une nouvelle fois enchanté avec la suite des aventures d'Alan Cope : Martha & Alan. Je retrouve la sensibilité de Guibert pour nos narrer un pan de la vie de son ami disparu. L'approche se veut plus minimaliste que les "tomes précédents". Cela va encore plus à l'essentiel. Peu de mots, économie de coup de crayon mais plus de couleurs.

Je conseille également le quatrième volume de Couleur de peau: Miel de Jung. Le trois m'avait semblé de trop. Avec celui là Jung explique sa démarche, la justifie et relance son autoanalyse montrant qu'il ne partage pas pour rien une partie de son patronyme avec un célèbre psychiatre. Le récit nous fait également plus voyager, de Bordeaux en Belgique, de la Corée du Sud aux Etats Unis. Il n'hésite pas à sacrifier le côté linéaire de son histoire pour cela.
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“Our dreams make us large.” Jack Kirby

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