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Vieux 21/01/2018, 16h37
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-Généalogiste Sénile--Sentinelle du Temple-
 
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DC

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Harley Quinn : be careful what you wish for

Genre : Voeux en série



Ce numéro est la réédition d'un épisode exclusif paru exclusivement pour la marque de pochette surprise ricaine "Loot crate" et je suis très content de pouvoir enfin le lire, des années après, d'autant plus que les auteurs ont ajouté des pages supplémentaires.

Durant la première partie du run de Conner, Palmiotti et Hardin (d'où la coupe pré film Suicide squad qu'arbore Harley), la belle décide de nettoyer à sa façon la crasse et les déchets de son quartier de New York et tombe sur une bouteille contenant l'authentique génie Jimm Salabim, capable d'exaucer tous ses vœux les plus fous. Que ce soit un Joker sensible et non meurtrier, d'appartenir à la JLA, de pouvoir parler aux animaux ou encore plus étrange, toutes ses envies vont y passer.

Un numéro one shot de très bonne facture, extrêmement bien réalisé. On a revu Jimm Salabim une seule fois après les évènements de ce one-shot dispensable du point de vue de la continuité mais franchement jouissif par moments.

Scénario : 15/20
Dialogues :16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Catégorie « Bon »

Harley Quinn 34 et 35

Genre : le roi est mort. Vive le roi!



Avec le numéro 34, nous disons adieu à la team Palmiotti/Conner/Hardin de très belle façon, avec un moment de gloire pour presque chacun des side-kicks et des seconds rôles qu'ils ont créée et qui gravitent autour d'elle depuis tous ces numéros (un 0, puis 32 qui suivent et enfin 34 de cette série, sans compter les nombreux spéciaux et la série connexe qui semble abandonnée, Little black book, qui ne comportait pas les dessins d'Hardin).
De la bonne ouvrage avec un petit bris du quatrième mur très sympathique qui m'a rappelé entre autres Man-thing volume 1 n°22 et Man-thing volume 2 n°11.

Avec le 35, on attaque un nouvel arc narratif avec Tieri qui se chargera des scénarios et une batterie de différents dessinateurs autour de lui dans un premier temps.
Il se débarrasse de façon simple mais efficace de la plupart des seconds rôles créées par la team précédente en rendant Harley morose et ne souhaitant pas de compagnie autour d'elle. Bien entendu, rien ne va aller comme elle veut et vous comprenez facilement qu'on aura la présence de Man-bat ou ses créations vu la couverture...

Le 34 est une belle fin de qualité, qui fait se remémorer pas mal de bons moments et qui reste dans les délires habituels de la série.
Malgré les débuts pas folichons de la nouvelle équipe aux commandes du 35, je suis bien content d'avoir de nouveaux artistes car on commençait à tourner un peu en rond. Seront-ils à la hauteur? Soyons optimistes!

Scénario : 14/20
Dialogues :14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20


MARVEL

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

The punisher epic collection TPB 7 : capital punishment

Genre : Pupu en Europe!



Ce TPB de la collection epic collection est le premier dédié au Punisher. Il prend la suite directe du volume noir et blanc de la défunte collection Marvel essential n° 4 paru en 2012 (!), qui finissait au volume 1, n°59 et reprend la numérotation au volume 1 n°63.
Il manque donc les numéros 60, 61 et 62, que je n'ai du coup jamais lus.Dans ce dernier arc de Mike Baron, il devient noir de peau suite à une opération chirurgicale étrange et aide le super-héros Luke Cage. Oui, c'est vraiment bizarre et c'est sûrement pour ça que Marvel/Disney à zappé ces 3 épisodes qui devaient être jugés "offensants" je suppose. Politiquement correct à la con.
Toujours est il que ce volume 7 d'epic collection reprend des histoires des années 92 et 93. Il commence par un one shot de très bonne facture de Mike Baron, avec Hugh Haynes aux dessins, G-force, dans lequel Pupu voyage en Guyane à la recherche d'astronautes français corrompus issus de la mafia de Marseille (!). "Exotisme" et rires garantis (ah, ce trafiquant qui conserve l'armure de ses aïeux dans son repaire guyanais!) pour les francophones mais ça reste du Punisher plein d'action et de bons dialogues comme on l'aime.
On enchaîne avec le numéro 63 du volume 1 de la série, dans lequel Frank va faire ses courses et doit faire face à des braqueurs amateurs et ultra violents. Une tranche de vie formidable et réussie de Chuck Dixon et Tod Smith.
Les numéros 64 à 70 de ce petit pavé constituent le must de celui-ci. Les britanniques Abnett (issu des livres Warhammer 40000) et Lanning (qui relanceront les gardiens de la galaxie tels que nous les connaissons dans leurs films des années après cet opus) nous narrent, aidés aux dessins de l'excellent Braithwaite, la lutte de Pupu contre le Caïd en Europe, bien décidé à prendre la tête des différents mafieux de notre continent! Lors de cet "Eurotour", Pupu fera affrontera des mercenaires comme Batroc ou Tarentula ainsi que plein de nouvelle têtes lors d'un voyage entre Royaume-Uni et Suisse plein de rythme et de fun.
Cette fine équipe créatrice nous régale lors de son retour aux USA où les gangs ont pris leurs aises en son absence et est responsable de tous les numéros jusqu'au 75 de cet epic collection.
Leur style évoque le meilleur des épisodes de Mike Baron et reste réaliste, sans sombrer dans certains délires trop peu crédibles.
Frank s'attaque entre autres à un supermarché de la drogue en plein New-York et irrite un sénateur qui lance une cabale contre les vigilantes à l'aide d'une unité spéciale de policiers d'élite, V.I.G.I.L.
Que du bon avec des dessins superbes!

C'est pas fini! On a pour conclure deux one shots pas foufous.
Le premier, Die hard in the big easy, est écrit par John Wagner et dessiné par Phil Gascoine (que je ne connais pas). Pupu voyage en Louisiane et doit affronter les bayous et un trafiquant de drogue se piquant de magie vaudou, Baron Cemetery.
C'est ultra classique, assez cliché sur cet état et pas folichon, malgré une scène sympa d'enterrement de première classe de Pupu.

Le second, Black widow/Punisher : spinning doomsday's web, est plus sympa du point de vue graphique, le dessin de Larry Stroman étant caricatural mais puissant. Du point de vue du scénario, il vous faudra par contre une bonne dose de suspension d'incrédulité puisque les deux personnages sont confrontés à un savant fou psychopathe et sanguinaire créateur d'une sorte de bombe atomique ultime qui pourrait raser un continent en une fois si elle était employée. Le pire est que c'est également une force de la nature sans aucune explication. ça fait beaucoup pour un scientifique, fut il brillant.

En bref, un très bon Epic collection qui vaut surtout pour le run de grande qualité d'Abnett, Lanning et Brathwaite.
On regrette seulement l'absence honteuse des numéros 60 à 62. Moi aussi, je voulais rire de ces épisodes considérés comme catastrophiques par beaucoup.

Scénario : 16/20
Dialogues :17/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

Doctor Strange 384

Genre : Le doc veut qu'on lui rende ses jouets



Le doc est très mécontent de ne plus être le sorcier suprême et d'avoir perdu la jouissance de sa maison.
Il a donc trouvé une nouvelle source de magie. Enfin, deux. Et pas des moindres.
Baston ultra bourrine ensues.

Un numéro simple mais prenant, riche en combats et en humour sympa. Le cliffhanger fait quand même s'interroger sur la santé mentale du bon docteur.

Scénario : 15/20
Dialogues :16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20


Catégorie « Bon »

The punisher 220

Genre : Armor wars



Pupu se trouve toujours en Chernaya, petite dictature frontalière de celle du docteur Fatalis, à la recherche d'agents renégats du SHIELD qui se sont enfuis avec des armures encore plus puissantes que la sienne.
Dans ce numéro, il les trouve et une grosse baston inégale s'ensuit.

Un numéro riche en action et bien mené, dans lequel Frank maîtrise enfin son armure avec talent. Cet arc est pour l'instant vraiment chouette.

Scénario : 14/20
Dialogues :15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20

The despicable Deadpool 292

Genre : Vengeance



Comme promis à son nouvel employeur, Deadpool continue la liste de ses assassinats en se déguisant habilement...ou pas. Il en profite pour rendre visite à une personne qui l'a manipulé de belle manière durant le crossover Secret empire et a un plan pour se venger. La présence de ladite personne en prison contredit les dernières pages dudit crossover mais on en est plus à une incohérence près, hein.
Doctor Strange avait bien vendu sa maison new yorkaise durant celui-ci et Loki la possède désormais donc bon. On est plus à un boulot d'éditor mal fait près.
N'empêche, ce numéro est très chouette et promet de belles choses dans le futur.

Scénario : 14/20
Dialogues :15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20
Réponse avec citation