DEADPOOL 11
|
Citation: |
|
|
|
|
Après le DEADPOOL HORS SÉRIE 2, Deadpool poursuit ses aventures dans les années 90 et vous révèle ses plus sombres secrets ! Avec en invités Dents de Sabre et Alpha Flight. Puis, le mercenaire affronte l'Anti-Araignée. Par Duggan, Posehn, Koblish et Hawthorne. En complément, quatre récits réalisés par d'anciens auteurs de la série. (Contient les épisodes US Deadpool (2013) 34-35, 27(X-XI-XII-XIII)) |
|
|
|
|
Le
Deadpool #34 est un bijoux. Retour aux débuts des années 90 avec les dessins époustouflants de Rob Liefeld. Marvel a bien de l'enbaucher ce petit jeune il ira loin. Prestation époustouflante de mimétisme Liefeldien (même la colorisation criarde est là) de la part de
Scott Koblish pour un numéro qui ne fait pas dans la dentelle mais tout y est : Sabretooth , Toliver (mon dieu le clin d'oeil plus qu'appuyé qui nous fait prendre 25 ans d'un coup), la moche Alpha Flight (qu'est ce que j'ai pu rire), Heroes for Hire .... De la justesse dans l'écriture de
Duggan et Posehn qui utilisent parfaitement leur sub plot et les pistes précédemment distillées (Ellie et Carm, Luke Cage et Iron Fist, la vision de l'agent Adsie). Cerise sur le gateau cet épisode est plus long que d'habitude. Il y avait le brillant Deadpool #11 de Joe Kelly, il y aura désormais le Deadpool #34 de Gerry Dugan et Brian Posehn.
Deadpool #34 est l'occasion de prendre des nouvelles (et elles ne sont pas bonnes) des faux X-Men de l'arc
The Good, the Bad and The Ugly. Pendant ce temps Dracula passe à l'offensive avec une armure que ne renierai pas JJJ. Beaucoup d'émotion avec le personnage de Kim (la rencontre entre Kim et Kurt m'a plu) mais aussi les efforts de Wade pour se rapprocher de sa fille (son tour de magie n'est surtout pas reproduire chez vous si vous n'êtes pas un professionnel) en tentant de concilier sa vie conjugale. Lire du soap dans Deadpool (car Preston n'est pas en reste), si on m'avait dit cela un jour je n'y aurais pas cru.
Mike Hawthorne s'en sort. On le sens de plus en plus à l'aise sur cette série.
Le mag est complété par la suite des court récits de
Deadpool #27 (sur le mariage). L'histoire de
Gail Simone est très sympa (avec l'Agent X en guest star).
Nicieza reconstitue le duo Cable/Deadpool tandis que
Gischler envoie Wade en terre sauvage pour un récit gourmand très coloré.
Daniel Way clôture et c'est mauvais.