|
Citation: |
|
|
Posté par SJ |
|
|
|
|
|
Kitchen #2 : déjà à la lecture du #1 l'envie d'écrire un avis pour que la majorité puisse se faire une idée de la qualité du titre était pressante, c'est pourquoi cet critique du #2 s'impose. Dans les histoires de mafieux rares sont les grands personnages féminins, même si ils sont là pour épauler leurs conjoints dans leur vie et surtout dans l'adversité, elles sont pratiquement toujours relayées au second plan.
Ainsi l'angle de ce titre est déjà presque inédit, ensuite l'exécution a tout d'une grande histoire de gangster. Et comme le dit l'adage méfions nous de l'eau qui dort. Ces ménagères apprenant le métier par le sang impressionnent par leur dextérité. En résumé une nouvelle mini de choix proposée par Vertigo, un scénario original mis en forme avec brio. |
|
|
|
|
J'ai bien aimé les deux premiers.
Ming Doyle n'est pas parfait mais son dessin associé à la très bonne colorisation de
Jordie Bellaire crée une atmosphère adéquate. Il n'est pas fait pour du super slip et est quand même plus à l'aise sur du Vertigo (ces personnage ont des tronches et sont loin des canons de beauté inadaptés à ce type d'histoire). On a beau être à Hell Kitchen je ne peux m’empêcher de me croire à Dublin. Ces femmes sont étonnantes et
Ollie Masters arrive a bien capter ce qui fait la force des récits de petites frappes et autre gangs à la Scorcese (Mean Streets) ou Sergio Leone (il était une fois en Amérique). Cela se lit un peu vite mais du coup il y a un côté feuilleton très agréable. J'attaque le #3.