Les points forts du run de De Matteis/Zeck?
Le dessin, très racé, pas de chute de style. La relation Steve Rogers / Bernie Rosenthal, avec un personnage très humain, qui gagne sa vie en dessinant, qui tente (en vain, à un moment) de cacher sa double identité. De la tension, de la vraie, avec le retour de Zemo (le fils) qui met Captain America à bout, le pousse dans ses derniers retranchements.
Les moins? Des épisodes parfois trop verbeux. Les premiers de l'album sont un ton en dessous, au niveau des enjeux. Globalement, si vous aimez Captain America, c'est pratiquement indispensable
|