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Vieux 21/05/2018, 17h32
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Je viens de finir pour la première fois les 12 épisodes.

Alors, forcément faut pas comparer trop avec des successeurs comme Watchmen, bien plus travaillés. Avec The authority, ça passe. On dirait pas mal un précurseur de ce dernier avec l'optimisme des long seventies finissantes et pas de cynisme. On sent clairement que Gruenwald veut démontrer que le sauveur n'existe pas (il est d'accord avec Nightwing, ça se se sent tout du long, surtout dans l'épisode tie in de Captain America).
On sent également, et c'est la grande force de ces épisodes, qu'il aime ses persos du squadron supreme, des versions plus humaines et faillibles des la JLA, à quelques personnages près, comme le très bon Tom Thumb, meilleur perso de tous selon moi.
Le docteur Spectrum et le whizzer sont assez touchants aussi. Et il y'a clairement un côté précurseur de ce titre qui permet de l'apprécier sur le thème "super héros super sauveur du monde...et fasciste".

ce que je regrette : le côté très décousu des épisodes, tantôt centrés sur le programme, tantôt sur les états d'âme des persos. Ceux-là même qui font échouer le grand projet impossible d'Utopia.
Un final marquant mais amené de façon abrupte et qui laisse en plan certains personnages. On sent que les épisodes sont presque écrits comme des stand alone, peut-être selon la méthode d'écriture courante de l'époque? En tout cas, c'est parfois avec un manque de finesse. Exemple : les lavages de cerveaux, dont les membres ont été maintes fois victimes par le passé et qui le sont fait affronter les vengeurs. A un pu deux membres près et un directeur de prison qui fait la fine bouche, tout le monde trouve ça super de priver des êtres humains de libre arbitre. Après, ils ont peut-être des séquelles du run des Defenders de Dematteis, dans lequel l'overmind avait presque réussi à conquérir le monde?

En bref, un TPB très intéressant quand resitué dans le contexte mais je trouve un Superman : red son plus convaincant dans son exécution sur un thème similaire.
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