Discussion: Questions sur DC
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Vieux 28/10/2019, 12h33
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Ben Wawe Ben Wawe est déconnecté
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Ben Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à Galactus
Je ne pense pas que Wonder Woman ait été retconnée par Greg Rucka pour "coller" à celle de la Justice League.

La Diana neuneu de la JL, c'était l'époque Geoff Johns, en tout cas les quinze premiers numéros ; or, c'est la grande période de Brian Azzarello sur le titre.
Meredith Finch reprend, surfe sur les éléments de son prédécesseur, et le titre est en effet défoncé par la critique... sans que je comprenne pourquoi, ce n'est ni navrant, ni honteux.

Maintenant, avec la période Rebirth, la "réécriture" généralisée d'un peu tout le monde, la découverte de secrets enfouis "un peu partout", le moment était "bon" pour revenir sur les éléments d'Azzarello.
Qui sont très bons, agréables, mais tranchent complètement avec le canon de Wonder Woman. Et Diana déesse de la guerre, ben rapidement, on ne sait pas quoi en faire...

Maintenant, Wonder Woman est hélas maltraitée dans sa série depuis longtemps.
Greg Rucka part rapidement, après une prestation en demi-teinte ; agréable, mais anecdotique. James Robinson ne sait pas vraiment quoi faire, et ça sent.
G. Willow Wilson est catastrophique sur la série, c'est vraiment mauvais. Steve Orlando arrive, mais on sent que le titre ne sait pas où aller.

A contrario, James Tynion IV l'écrit très bien dans Justice League Dark. Le crossover très tôt avec la série de Diana, qu'il écrivait ce temps-là uniquement, a du sens pour intégrer directement Diana dans l'univers magique. Et surfer sur les connaissances et acquis mystiques de Themyscira, c'est légitime.
Tynion utilise Diana comme un "baromètre", plutôt un phare ; un pilier, pour le lecteur. Qui découvre, avec elle, via elle, l'univers magique des autres. Diana est en soi "les yeux du lecteur", qui ne peut pas se projeter en elle, mais retrouve en elle un personnage connu et (très) bien animé ici.

En soi, la question du retcon ou non d'Azzarello se pose moins qu'une autre.
Qui a une vraie bonne idée originale et pertinente pour Wonder Woman ?
Depuis Azzarello, il n'y a personne ; et encore, au fond, Azzarello s'est essentiellement contenté de tout réécrire, sans proposer de beaucoup neuf. C'est vraiment dommage que l'Amazone ne dispose pas d'un auteur ou d'une autrice inspirés... une Kelly Thompson y ferait des merveilles.
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