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ensuite je tiens à souligner l'excellence de deux autres titres DC, à savoir, et surtout, Detective Comics, avec son #828, et Jonah Hex, et son #16.
le premier est vraiment un must d'enquête bien noire qui fait plaisir au fan du genre comme moi, nourri à l'Humphrey Bogart du quartier, et au bon vieux Cagney des familles. tout est contenu dans ce numéro, une superbe petite enquête dans le milieu mondain de Gotham, un ami de Bruce Wayne est dévoré sous ses yeux par des requins, mais il y a plus selon lui qu'un simple accident, et le justicier sombre va être aidé pour cela de Edouard Nigma, le villain repenti, désormais détective privé et du coté du bien.
bref encore une petite perle de plus signé Paul Dini, aidé aux dessins de Don Kramer, toujours très inspiré, avec de très belles planches livrant une narration vraiment prenante. du coup les 22 pages paraissent bien plus, une lecture qui fait plaisir. pour moi le meilleur titre Batman de loin.
Jonah Hex est un western que j'aime bien je l'ai déjà dis maintes fois. les fans ont été gâtés avec une histoire sur ses origines dessinée par le grand Jordi Bernet, dessinateur espagnol de qualité. pour reprendre le flambeau afin de raconter l'histoire de Tallulah Black, c'est Phil Noto qui revient aux crayons, pour la troisième ou quatrième fois. son numéro est plus beau que ses précédents, et en plus il dessine encore le suivant pour boucler le dyptique sur la belle scarifiée.
c'est une tragédie qu'on nous raconte ici, celle d'une femme mutilée par les assassins de sa famille qui décide d'engager le plus grand bounty hunter des EU pour l'entrainer à devenir une machine à tuer : Jonah Hex, qui partage son visage tourmenté avec TB.
c'est bon, efficace et on en a pour ses 3 dollars, bien au de là des autres titres du genre, qui vont du bon (Lone Ranger que j'ai aussi dans ma pile), au décevant (avec Loveless).
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