|
Citation: |
|
|
Posté par Hob |
|
|
|
|
|
Ou t'a vu que je cherchais des excuses à ce titre ? Je m'en fiche , je l'ai pas lu et donc je n'ai pas d'avis, en tout cas pour le moment
Je réagissais juste à ta remarque sur le dessinateur que je trouve extrême et du fait que perso, si je compare ce que j'ai vu des previews du titre, je suis loin de trouver ce que fait Medina si degueulasse que ça |
|
|
|
|
|
Citation: |
|
|
Posté par Dhargo |
|
|
|
|
|
Medina, un dessinateur plus que moyen...
Je suis de l'avis de Hob sur ce dessinateur il fait un boulot plus qu'honorable sur cette preview.
Comme d'habitude, Medina est la cible parfaite on dirait alors qu'il dessine plutôt bien, c'est quand même pas du Liefeld, Tom Morgan ou Rod Wigham !! Il fut un temps chez Marvel ou les dessinateurs pompiers étaient nettement moins bons que Medina ou Tom Derenick, l'autre dessinateur descendu régulièrement sur le forum. |
|
|
|
|
Que Medina soit un pro, je l'espère pour lui et si ça suffit à certains, tant mieux. Mais qu'on le trouve bon seulement parce que son boulot est "honorable" ou "pas dégueulasse", je trouve ça bien clément.
Vous vous contentez soudain d'un dessinateur qui est au mieux un technicien quelconque, l'archétype du type qu'on appelle pour dépanner, alors que je vous ai connus bien plus exigeants. Permettez-moi d'être étonné.
Enfin... Tout ça ne fait que confirmer ce que j'ai toujours pensé : les lecteurs de BD, dans leur majorité, sont incapables d'analyser le dessin au-delà d'un simple "c'est bien/pas bien/pas mal". Il existe un vocabulaire pour parler de dessin, vocabulaire qu'il est facile d'apprendre et bien utile pour communiquer ses sentiments sur l'art séquentiel. Mais je crois aussi qu'il existe une paresse chez les lecteurs à dépasser des avis laconiques, des généralités.
Bien entendu, en disant cela, on va me trouver bien professoral et certainement condescendant. Pourtant, bien qu'ayant longtemps dessiné, j'ai été aussi longtemps inculte sur les mots attachés à ma discipline. Je les ai appris, progressivement, non pas pour me faire mousser mais parce que j'en avais assez de ne pas pouvoir exprimer clairement ce que je ressentais devant les images d'un BD. Lorsqu'on sait parler de quelque chose, il devient plus facile de déterminer non seulement pourquoi on l'aime ou pas, mais surtout de l'expliquer aux autres.