Hercules de Abnett et Luke Ross. Hercule tente de se refaire une réputation et de se moderniser mais voit débouler une foule de créatures mythologiques fuyant une mystérieuse menace. En parallèle, il tente de redonner à Gilgamesh le goût de l'aventure.
Cette série m'a irrité au plus au point. D'une part parce qu'elle pompe allègrement sur American Gods en introduisant des dieux modernes, qui sont en fait des stéréotypes emos/gamers/trolls d'internet. D'autre part parce qu'elle n'est qu'un simple prologue (je suppose, à Civil War II: Gods of War). Enfin, parce que malgré une histoire sans aucune résolution, la série se permet de s'achever sur un numéro entier consacré à une PSA anti-alcool. Un gâchis.