Enfin la conclusion d'un arc trop long (8 numéros) dans
FLASH #8
Que dire :
Joshua Williamson sera arrivé à me faire acheter du Flash régulièrement, aimant le personnage mais ayant peu l'occasion de lire des récits me captivant. N'est pas Scarletneedle qui veut
Il remet Flash et son entourage de speedy au gout du jour, d'une manière entrainante et dynamique. Dommage (regret déjà exprimé dans ma critique du numéro précédent) qu'il évente si rapidement l'identité de Speedgod qui passe presque pour un Zoom bis finalement. Williamson aurait pu également enfoncer un peu plus le clou sur les motivations de Speedgod et ses répercussions sur Barry. Il y a avait là un pont d'or avec Flashpoint (et Rebirth) que le scénariste n'a pas osé (encore ?) franchir.
Bon point par contre pour l'introduction du nouveau Kid Flash et surtout la gestion de Meena (très bonne fin à ce sujet).
L'horizon semble dégagée pour le bolide numéro 1 de l'univers DC. J'espère que
Carmine Di Giandomenico restera un moment sur cette série car ses dessins sont parfaits pour ce personnage.