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Vieux 16/11/2011, 14h13
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Si, c'est dit: 8000. En fait, quant tu regardes un peu mieux l'étude, c'est 16000 (8000 X2: cohorte à 5 ans et à 10 ans pour le QI).

Pour ton second point, c'est normal. Déjà, la cohorte date des années 70, les premiers résultats sur la conso de drogue à 16 ans datent donc des années 80: à cette époque tous les tests de dépistage n'existaient pas et quand ils existaient, étaient très longs à mettre en place. Impossible de faire ça sur plusieurs milliers de clampins, ça aurait pris des années. Surtout qu'on ne parle pas forcément d'une conso régulière et persistante. Même aujourd'hui, il est impossible de vérifier une prise de stupéfiants antérieure au mois écoulé.

Ensuite, dans ce cadre institutionnel, on estime que les faux positifs et les faux négatifs doivent être rares ou en tout cas s'équilibrer (bien plus en tout cas que si le sondage était mené, au hasard, par la gendarmerie ou le ministère de l'intérieur, et où, dans ce cas, on sait pertinemment que le nombre de faux négatifs sera laaargement supérieur à celui de faux+ et on comprend pourquoi...). Toutefois, la probabilité qu'il y en ait devrait, si le travail est bien fait, être intégrée dans les stats. Mais, je n'ai pas regardé à ce niveau de détails.

Dernière modification par HiPs! ; 16/11/2011 à 14h31.
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