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Vieux 30/12/2008, 10h12
doop doop est déconnecté
bouzouk force !!!!
-Gardien du Temple-
 
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Crit.Doop 93: SECRET INVASION, TEEN T Y1;SALVATION RUN,KITTY et WOLVERINE, DCU

Critiques Doopiennes semaine 93 (30/12/08)

SECRET INVASION #8


(Bendis / Yu / Morales)

Suite et fin de l’EVENT de l’année chez MARVEL. On le sentait venir, et c’est effectivement terriblement décevant, et ce à plus d’un titre.

Premièrement, ce n’est pas une série avec un début et une fin, puisque cela ne sert , en gros , que de prélude au prochain évènement annuel, à savoir DARK REIGN, et là, cela me gêne un peu, surtout par rapport à ce qu’en avait fait l’éditorial de chez MARVEL. Comment peut-on croire qu’un événement aussi important puisque planifié 5 ans à l’avance selon QUESADA (oui MICHEL, il y avait bien des skrulls dans AVENGERS DISASSEMBLED !!!! ) avec en plus une excellente idée d’invasion secrète, de conspiration nous sorte un final qui en fait quelque chose de négligeable.
Pour un mort « important »
(quoique), on a quand même droit à une sacrée résurrection abusive dans la mesure où rien n’est expliqué et qu’on ne sait absolument pas d’où cela peut bien sortir ! Je parle bien évidemment de
. Bref, la disparition des héros , qui était à mon sens un événement important est traité en une case et de manière plutôt pourrie, en tout cas, pas du tout à la hauteur de ce que l’on pouvait espérer…
Bon, après on pourra toujours arguer qu’il arrive quelque chose à TONY
; mais là aussi, c’est traité en quelques cases et n’a pas l’importance que cela devrait avoie en théorie (tout cela parce qu’il a tué un SKRULL à la télé ; le président lui confie les clefs de la sécurité nationale ? ). Pas terriblement crédible sur ce coup là, ou alors, BENDIS ne l’a pas traité assez bien pour en faire quelque chose de crédible ! La fin, avec la réunion des personnages m’a profondément attristé. On se dit qu’on s’est bien fait avoir par BENDIS et QUESADA sur ce coup là, en attendant, la montagne accouche d’une souris !
Deuxièmement, BENDIS réduit l’impact des mini séries associées à l’event en rangeant bien et en remettant tout en place avant la fin de l’histoire.

Il a fait mumuse pendant huit épisodes, mais il range tous ses jouets à la fin !!!!
Tout est bien qui finit bien, il ne restera finalement aucune trace de l’invasion (enfin, attendons de voir la suite, mais je suis à peu près persuadé que NEW YORK va se reconstruire encore plus vite qu’après WORLD WAR HULK ! ).
Troisièmement, les dessins de YU, qui ,s’ils avaient bien débuté dans les premiers numéros, sont à la limite de l’incompréhensible. Il n’a jamais été doué pour la description, notre ami LEINIL, et lui confiée une série ou il n’y a que des batailles rangées ce n’était pas jouer sur ses forces. MORALES fait ce qu’il peut, mais ses dessins nous laissent bien dubitatifs. Qui peut m’expliquer ce que fait THOR à JANET dans les deux premières pages car je n’ai rien compris.
Bon, occupons nous de l’aspect positif, car il y en a un peu quand même : cet épisode 8 est plutôt agréable à lire et pas trop mal mené si l’on arrive à faire abstraction des choses sus-citées. BENDIS range et remet l’univers MARVEL en place de la manière la plus naïve qu’il soit , mais il le fait quand même bien. C’est au moins divertissant à défaut d’être bon.
Et c’est vraiment dommage, car SECRET INVASION avait tout pour appâter le chaland et semblait être construit sur des fondations solides. On s’aperçoit qu’il n’en est rien, et que la montagne a accouché d’une souris. BENDIS a fait dans le BLOCKBUSTER bourrin (attention, j’aime le BLOCKBUSTER bourrin) mais l’emballage ne correspond pas du tout. Enlevez les scènes de bataille, le reste aurait pu tenir dans , allez, trois numéros !

C’est comme si on nous avait promis du X-FILES et qu’on se retrouvait devant du SMALLVILLE !
En fait SECRET INVASION est surtout décevant dans la mesure où l’on en attendait beaucoup plus (c’est la faute à QUESADA et BENDIS d’ailleurs) et qu’en fait, cette histoire, qui aurait pu être un tournant important dans l’histoire du monde MARVEL ne restera pas dans les annales, puisqu’elle ne change strictement rien (quasiment).
Divertissant à la rigueur, trop long à mon goût et surtout vendu de manière franchement mensongère !
En plus, les dessins ne rattrapent pas le coup !

et demi


SALVATION RUN TPB


(Matthew Sturges-Bill Willingham/ Sean Chen-Joe Bennett/ Walden Wong)

SALVATION RUN repose sur une idée bizarre mais ma foi fort intéressante. Apparemment, lors de COUNTDOWN TO INFINITE CRISIS, certains membres du gouvernement ont eu une idée : exiler tous les méchants sur une planète loin, très loin dépourvue de toute technologie où ils ne pourront pas faire de mal. OK, et ça correspond quand même un peu à ce que MARVEL a fait sur CIVIL WAR en expédiant les vilains dans la zone négative, mais en fait, cela m’a plutôt fait penser à GUERRES SECRETES façon vilain DC.
Car en effet, face à une nature hostile, nos vilains vont être obligés de se répartir en équipes et, leur nature reprenant le dessus, on va avoir trois groupes différents qui vont se former : l’un commandé par LUTHOR, l’autre par la JOKER et le dernier par VANDAL SAVAGE. Si la motivation est la même (partir de la planète) ; les moyens et les méthodes sont différentes. Alors que LUTHOR privilégie le cerveau et la technologie, JOKER privilégie la violence, tout cela sous l’œil méprisant mais pas innocent de SAVAGE, qui a un autre plan.
Mais les héros n’auraient-ils pas envoyé une taupe dans le rang des exilés ?
Bref, SALVATION RUN est une petite mini série plutôt bien construite, qui m’a procuré beaucoup de plaisir à lire.
Evidemment , le récit tourne beaucoup autour des différences entre LUTHOR et le JOKER, et l’affrontement entre ces deux personnalités emblématiques est plutôt réjouissant. Car ils sont extrêmement différents, et même si l’affrontement de leurs deux philosophies n’est pas vraiment nouveau (on a vu ça dans WORLD’S FINEST de RUDE et GIBBONS) , je dois avouer qu’il est plutôt bien mené au sein de SALVATION RUN. De même , les ROGUES de FLASH sont plutôt bien traités eux aussi. Je n’ai pas ressenti particulièrement de souci de caractérisation.
Les aventures de nos vilains dans la jungle sont bien fichues, pas vraiment de temps mort et en dépit de quelques répétitions, on se prend dans ce récit de WILLIGHAM et STURGES, qui arrivent à ménager parfois de bonnes surprises.
Niveau dessins, c’est SEAN CHEN, qui livre une prestation honorable, mais pas franchement exceptionnelle, loin de ses NOVA par exemple, où l’encrage d’un SCOTT HANNA lui convenait peut être mieux que celui de WALDEN WONG. J’aime bien CHEN ? mais parfois, certains de ses personnages sont ratés, ce qui est gênant. Ce qui est aussi gênant, c’est que JOE BENNETT livre une prestation bien meilleure en tant que dessinateur fill-in pour un épisode.
C’est malgré tout efficace au niveau des graphismes, sans être particulièrement transcendant.
Bon, il reste quand même un petit souci de taille. Si l’on a pas besoin vraiment d’avoir lu COUNTDOWN TO INFINITE CRISIS pour apprécier SALVATION RUN, on en ressort quand même assez frustré, dans la mesure où depuis, je n’en ai pas entendu beaucoup reparler dans les séries, surtout dans FINAL CRISIS. En clair, cela n’a pas vraiment été considéré comme un événement important, et c’est quand même dommage car les intrigues et les mystères exposés tout au long des épisodes ne se terminent absolument pas ici, on a l’impression que la contrainte éditoriale a frappé en cours de route, démolissant l’aspect auto-contenu de la mini qui ne répond pas à deux questions principales à al fin , à savoir :


En dehors de cet aspect toujours irritant de ne pas vouloir exposer tout et de ne pas avoir de réponse, la trame principale est quand même résolue (heureusement) et LUTHOR et consorts arrivent à rentrer sur Terre. C’est plutôt une bonne mini série, plutôt pas mal dessinée, mais je dois vraiment vous avouer que j’aurais aimé que tout soit résolu, et non pas attendre des autres mini séries ou des épisodes de la JLA pour avoir des réponses.

et demi




TEEN TITANS YEAR ONE


(Wolfram / Kerschl / Lapointe)

Une nouvelle scénariste qui nous donne des histoires sur les premières aventures des TEEN TITANS, KARL KERSCHL aux dessins, ce TPB avait beaucoup de choses pour m' intéresser !
Le problème, c'est que souvent, quand les scénaristes essayent de dépeindre de jeunes ados en y mettant de l'humour, c'est souvent à ras des pâquerettes ou très très lourd !
La jeune AMY WOLFRAM (qui n'a pas de liens apparents avec MARV WOLFMAN) allait-elle éviter cet écueil, que WAID lui même n'est pas arrivé à faire sur FLASH par exemple avec les gamins WEST.
C'est vrai que c'est peut être la chose la plus difficile à faire, de l'humour avec des gamins sans qu'ils ne soient têtes à claques ou pipi-caca-prout !
A sa décharge, WOLFRAM y arrive très bien.
Elle nous raconte donc ce qui a poussé les TEEN TITANS à s'associer (leurs ainés sont possédés) et le début de leurs aventures.
Bizarrement, tous les personnages sont assez clichés, ROBIN ne pense qu'à se défaire de l'ombre de BATMAN, WALLY est un surexcité, DONNA ne pense qu'à ses evdettes de rock et à sauter sur tous les garçons et GARTH est... Bizarre et pas à l'aise...
C'est assez cliché donc, mais je ne sais pas pourquoi, cela passe extrêmement bien.
C'est plutôt plaisant et pas lourd pour deux sous, même si l'intrigue est tout à fait quelconque et ne casse pas trois pattes à un canard (même deux pattes d'ailleurs). C'est le seul problème de cette série, le méchant est un peu mal défini et sans vraiment grand intérêt. C'est le seul qui soit un peu ennuyeux dans ce volume, et c'est un peu dommage !
J'aurais aimé voir plus de choses avec GREEN ARROW ou WONDER WOMAN, car WOLFRAM se centre beaucoup sur BATMAN.
Une petite mention spéciale pour la fin , assez sympathique et pas du tout cliché sur le coup. Ca fonctionne plutôt bien et me fait un peu penser à la fin de la série ANGEL .
A mon sens, WOLFRAM a réussi sa mission, en étant légère sans jamais tomber dans la lourdeur pathétique.
Il faut dire aussi qu'elle est particulièrement bien aidée par les dessins de KARL KERSCHL, qui sont vraiment excellents. KERSCHL n'a pas peur de tenter des choses, de prendre des parti-pris, comme le look d'AQUALAD et cela fonctionne vraiment très bien. Il convient parfaitement à cette ambiance légère avec son compère SERGE LAPOINTE qui embellit sans aucun souci les dessins de KERSCHL. Une petite pensée pour le coloriste STEPH PERU décédé lors de la réalisation de cette série, et qui fonctionnait lui aussi à merveille.
Bref, sans être exceptionnelle, car finalement cela n'apporte absolument rien de nouveau aux persos, ce TEEN TITANS YEAR ONE se lit en quelques dizaines de minutes avec beaucoup de plaisir. On rit souvent, c'est quand même pas mal.
Si vous voulez voir quelques chose de frais et rigolo sans être trop lourd, jetez vous dessus, en revanche, si vous attendez une grosse intrigue avec des développements de personnages, évitez. Quoiqu'il en soit, les dessins de KERSCHL, qui peuvent quand même rebuter, sont pour moi une raison suffisante pour lire ce bouquin !
et demi




X-MEN : KITTY PRYDE & WOLVERINE HC


(Claremont / Milgrom)

Quand j’ai vu que ce hardcover était publié, je me suis empressé de la commander à notre ami GOURVY. En effet, cette mini série de six épisodes est l’une de celles qui m’a le plus frustré en tant que lecteur de VF, dans la mesure ou LUG/SEMIC ne l’avait jamais publié et y faisait constamment référence dans les séries X-MEN. Pourquoi KITTY conge de coupe, de costume, de nom, qui est ce fameux OGUN qui l’avait traumatisé, qu’est ce qui s’était bien passé au JAPON ? Bref, c’était pour moi une frustration de jeunesse qui allait prendre fin à la lecture de cette mini, que j’ai même prise en hardcover pour le coup !
Bon, comme PERSEPOLIS en avait déjà parlé dans ce forum, je savais un peu à quoi m’attendre, et je me doutais bien que je n’allais pas retrouver l’audace et l’inventivité du RECIT COMPLET MARVEL : SERVAL, mais bon, nostalgie, quand tu nous tiens.
L’histoire commence bizarrement : KITTY surprend son papa banquier en pleine discussion avec des membres de la YAKUZA qui veulent l’emmener de force au JAPON. Elle se glisse dans l’avion et hop, la voilà directement au pays du soleil levant sans prévenir personne. Elle va se faire capturer par l’un des mafieux locaux, OGUN, qui va la re-conditionner mentalement pour en faire une super tueuse ninja !
Débarque alors WOLVIE, qui avec son amie YURIKO va arranger les choses.
Cela risque d’être compliqué car KITTY est totalement possédé par OGUN, qui se trouve être aussi l’ancien sensei de LOGAN !
Autant le dire, le début et la mise en place des situations de départ n’est pas franchement réussi. C’est un peu du grand n’importe quoi avec une KITTY qui fait le voyage dans l’avion avec son habit de PATINEUSE A GLACE, mais dés qu’on arrive au JAPON, l’action devient classique et au niveau d’une bonne histoire des X-MEN.
Le combat KITTY/WOLVIE est assez bien mené, même si la déprogrammation de KITTY s’avère aussi être un tout petit peu bâclée et en tout cas trop rapide (je ne comprends pas trop ce truc de tenir une épée à bout de bras, mais bon , c’est dans l’esprit.)
Le rôle du père de KITTY est assez caricatural, dans le genre du gars qui ne comprend rien à rien, qui a fait une bêtise et qui le regrette, mais sa rédemption est convaincante à la fin.
Non, c’est vraiment une histoire typique des X-MEN par CHRIS CLAREMONT dans les années 1980 mais sachant qu’il s’agissait de KITTY PRYDE, une de ses créations préférées, on aurait pu en attendre plus. En fait, CLAREMONT essaye un peu de vouloir monter une suite à WOLVERINE, mais on sent un petit peu trop les ficelles et cela peut paraître poussif et alambiqué par certains moments, même si je le répète, c’est tout à fait correct et lisible.
Ou on s’aperçoit clairement que MARVEL essaye de surfer sur le succès de la mini WOLVERINE, c’est en regardant les dessins.
AL MILGROM est loin d’être mon dessinateur préféré, loin de là, je me rappelle encore ses affreux VENGEURS DE LA COTE OUEST, et ses SECRET WARS 2, mais il est capable de bonnes choses, comme son run sur SPECTACULAR SPIDER MAN. Ici, il essaye définitivement de coller à l’ambiance instaurée par MILLER et RUBINSTEIN dans la mini WOLVERINE, et (sans grande surprise), il n’y arrive pas vraiment.
C’est amusant de constater que si certaines de ses planches sont très jolies à regarder et pleines de style, les scènes de combat notamment, il a beaucoup plus de mal à gérer les têtes et les attitudes de ses personnages lorsqu’il ne se passe pas grand chose. C’est quand même au dessus d’un MILGROM moyen.
Bref, une petite mini série que je conseille seulement aux fans de cette époque des X-MEN et que le graphisme de MILGROM ne dérange pas trop. Ne vous attendez pas en tout cas à trouver une histoire aussi originale que celle de la mini série WOLVERINE ; mais personnellement, j’ai plutôt passé un bon moment. Il faut dire, je suis dans la cible. Et MILGROM fait vraiment beaucoup d’efforts.

(parce que je suis gentil)


DC UNIVERSE 41

Contient
JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #13
(Mc Duffie / Benitez / Llamas)

Deuxième partie de la bataille contre l’INJUSTICE GANG.
Pour être franc, on se retrouve au beau milieu d’un arc et ce ne sont que des scènes de bataille et de moments où la JLA part à la recherche de ses ennemis. Quelques développements sur les perosnnages (SUPERMAN et VIXEN en gros), mais c’est encore peu. Aux dessins, c’est notre ami JOE BENITEZ qui livre, comme à son habitude, des pages assez affreuses. Moins moche que son travail sur TITANS, mais vraiment pas joli !
Bref, il ne se passe pas grand chose et c’est mal dessiné. MC DUFFIE réussit quand même à produire chez moi un vague intérêt.
et demi

JUSTICE SOCIETY OF AMERICA #11
(Johns / Eaglesham / José-Geraci)

Suite là aussi de FLAMMES DIVINES , dont l’épisode précédent était le meilleur depuis le début de la série. On s’essouffle un petit peu plus dans ce numéro, mais c’est aussi une deuxième partie d’une arc narratif, dont cela paraît normal. JOHNS réussit à rendre crédible la relation entre ce nouveau SUPERMAN et POWER GIRL dans une scène de conversation bien touchante. C’est ce qui fait vraiment le piment de cette histoire. En revanche, dès qu’on s’en éloigne un peu (l’arrivée de JUDOKA et MR AMERICA, la série retombe un peu en intensité.). on ne comprend pas trop où JOHNS veut aller en mélangeant ainsi les intrigues et les personnages nouveaux, il s’y prend carrément moins bien que sur la précédent volume à mon avis ! La première page voit JAY GARRICK et un FLASH courir sur un tapis cosmique (je suppose que c’est WALLY), mais c’est confus dans mon esprit, moi qui alterne entre la VF et la VO !
Aux dessins, EAGLESHAM livre une très bonne prestation, surtout lorsqu’il est encré par DREW GERACI , qui lui convient beaucoup mieux et qui arrive à gommer certains de ses défauts !
et demi

GREEN LANTERN CORPS #16
(Gibbons/ Unzueta-Gleason/ Geraci-Rollins-Cifuentes)

Partie 7 de la guerre contre le corps des SINESTRO , ce numéro est surtout une grosse scène de bagarre pour aller à la rescousse de MOGO, la planète vivante. Pas grand chose à dire, cela se lit très bien et ce n’est absolument pas ennuyeux pour une scène de combat de 22 pages quasiment. C’est bien dessiné par PAT GLEASON, un peu moins bien par ANGEL UNZUETA, mais c’est tout à fait dans le ton de cet arc !


GREEN LANTERN #24
(Johns / Reis/ Oclair-Ferreira)

Partie 8 du CORPS DES SINESTRO avec là aussi une grosse scène de bagarre : il faut sauver la terre des méchants et c’est tous les super héros DC qui sont concernés par ectte invasion pas du tout secrète et orchestrée par le machiavélique SINESTRO, qui va rameuter pas moins que SUPERBOY PRIME, SUPERMAN-CYBORG, PARALLAX et ANTI-MONITOR dans le combat.
Autant dire que nos héros auront fort à faire. C’est vraiment excellent : un splendide numéro. JOHNS ne se contente pas de décrire une grosse baston cosmique, mais il en profite pour ramener
sur le devant de la scène dans une scène qui marche parfaitement et qui fait echo à ce qu’on avait pu voir dans le première partie de ce crossover ! C’est bien car je craignais un peu pour ce personnage qui faisait partie de mes favoris ! Maintenant, il reste à savoir quelle va être sa place dans l’univers DC puisque
. C’est un peu dommage, je pense qu’il y avait moyen de faire pas mal de choses avec le personnage de ION au vu de sa mini série.
Reste que les LANTERNS sont maintenant au complet et que la bataille finale va pouvoir commencer.
Aux dessins, IVAN REIS est exceptionnel. C’est clair, c’est énergique, c’est beau et ca donne envie d’en voir encore plus ! Super épisode pour du super héros !


Dernière modification par doop ; 30/12/2008 à 11h55.
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