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Vieux 11/03/2008, 09h09
doop doop est déconnecté
bouzouk force !!!!
-Gardien du Temple-
 
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doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0doop sait diviser par 0
Crit.doop.sem.51:MAN THING,FLASH,MANHUNTER,X-mEN, EXTERMINATEURS

Critiques Doopiennes semaine 51

DEAD OF NIGHT #1

(Aguirre-Sacasa/Kano)

Interloqué par les previews de cette série, qui relate en plus les aventures d'un de mes personnages préférés, à savoir MAN THING, j'ai pris cette série sans trop y croire. Je dois avouer aussi que, si AGUIRRE SACASA n'a pas livré un superbe boulot sur SPIDERMAN, il m'avait convaincu sur 4, sa série dédiée aux FF et que KANO est une valeur sûre. Donc voilà en fait une mini racontant et modernisant les aventures de MAN THING .
Il y a deux possibilités quand on veut raconter de manière moderne les origines d'un personnage : la méthode bourrin, où les auteurs envoient ad patres tout ce qui a fait le personnage sans ses préoccuper de quoi que ce soit. Avantage : cela crée un buzz énorme et cela permet de pouvoir faire ce que l'on veut ; inconvénient : si ce n'est plus le même personnage, cela n'a très rapidement plus aucun intérêt (DOC STRANGE de STARCZ vite oublié, j'en passe et des meilleures..).
On peut avoir aussi la méthode hommage, ou finalement rien ne change complètement, mais où les origines sont un peu réactualisées. Avantage : cela respecte complètement le lecteur qui veut voir du MAN THING et non pas un monstre quelconque , inconvénient : cela n'apporte pas grand chose de nouveau.
Autant vous dire qu'on est plutôt dans l'hommage que dans la révolution, et je trouve cela très bien. Sans toucher à grand chose (un amant à la fiancée de TED ; l'A.I.M. toujours dans le coup et un peu de zombies et d'expériences ratées ), on se laisse complètement attraper par cette ambiance qui se veut rappeler les films d'horreur de série B et surtout, le ton de ces séries MARVEL des années 70.
SACASA respecte admirablement bien son cahier des charges, et c'est vraiment une très bonne lecture. Reste à voir où ses trois épisodes suivants vont nous mener, mais en attendant, c'est une bonne surprise et un excellent hommage au personnage et à ce genre de séries.
Côté dessin, KANO prouve qu'encore une fois il est très à l'aise. On est pourtant dans un registre qui ne lui convient pas réellement, son style cartoony et très léger étant aux antipodes des histoires sombres et gluantes, et pourtant, même s'il a peut être un peu de mal sur les zombies et le visage gravement déformé de ELLEN BRANDT (autant le dire, c'est raté), autant il a un petit style rétro sur les personnages qui est tout à fait à mon goût. Et puis ses premières et dernières pages, où il abuse un peu de PHOTOSHOP pour mettre en valeur le personnage de DIGGER sont absolument magnifiques.
Bref, on tient peut être une très jolie mini série , absolument pas mise en valeur par MARVEL (personnellement, je n'ai vu aucune pub) qui préfère les gros crossovers et la hype de MILLAR sur KICK ASS. C'est bien dommage, car pour une fois, on a une redite des origines très fidèle et très respectueuse.
Un très bon moment pour une série à suivre.
et demi
ON ne peut s'empêcher non plus de penser à STEVE GERBER, qui a scénarisé comme personne le personnage de MAN THING. Rest in peace, STEVE.


UNCANNY X-MEN #495

(Brubaker/Choi)

Premier épisode après MESSIAH COMPLEX, dans ce qui est communément appelé DIVIDED WE STAND. En gros, on veut nous faire croire que l'équipe des X-MEN n'existe plus. Que nenni, ils sont juste un peu tous partis en vacances et BRUBAKER nous raconte ici les aventures de chacun des groupes un peu éparpillés sur la planète.
On commence avec SCOTT et EMMA qui prennent un peu de vacances en TERRE SAUVAGE, avec KA-ZAR et la vraie SHANNA ! Ceux -ci vont devoir encore une fois expliquer leur position à IRON MAN concernant le recensement des super héros. BRUBAKER Arrive a nous donner toujours une bonne explication sur le fait que les mutants ne veulent pas participer à l'INITIATIVE, dans la mesure où l'alibi des O*N*E ne tient plus.
En effet, enregistrer des mutants, qui n'ont pas choisi d'avoir des super pouvoirs n'a rien à voir avec enregistrer des gens qui décident de jouer au super-héros. SCOTT qui s'est nettement affirmé depuis quelques numéros envoie donc balader TONY STRAK et je trouve cela très cohérent.
Il était enfin temps que quelqu'un s'occupe de la relation entre SCOTT et EMMA. Après tout, cela fait maintenant plusieurs années que les deux forment un couple, et si ce n'est dans les pages d'ASTONISHING X-MEN, on ne les avait encore jamais vu se comporter comme tel, le plupart des scénaristes préférant jouer avec le côté méprisant de notre rEINE BLANCHe et le caractère " je suis coincé " de SCOTT. Là, on a véritablement une relation forte qui s'installe entre les deux personnages, EMMA avouant les raisons de son amour à SHANNA, sur le ton de la confidence entre deux amies (même si elles ne se sont jamais rencontrées…enfin, il ne me semble pas…). Une discussion entre copines, dans un numéro où il ne se passe finalement pas grand chose, mais où tout est axé sur les personnages. EMMA prend réellement une épaisseur considérable à la lecture de ce numéro, et SCOTT aussi par la même occasion. Les deux tourtereaux ont réelleme,nt trouvé un peu de paix et d'harmonie, et c'est tant mieux. En plus, c'est bien écrit.
Quelques petites pages sur LOGAN, KURT et PETER qui vont prendre le train pour la RUSSIE natale du dernier, tandis que WARREN se retrouve projeté on ne sait pas pourquoi dans le SAN FRANCISCO des années 70.
Ces deux autres histoires forment en tout et pour tout quatre pages, et on attend donc les développements ultérieurs dans les prochains numéros.
Quelques mots sur les dessins de MIKE CHOI, qui avait réussi une bonne prestation dans la mini série X-23 ; mais qui a ici beaucoup plus de difficultés. Si le ton de la confidence entre persos et les décors de la terre sauvage lui conviennent très bien, c'est en revanche assez statique, la colorisation n'aidant pas vraiment non plus. On a du mal à reconnaître qui est EMMA et qui est SHANNA , car elles ont la même couleur de cheveux, et c'est parfois très très statique. Certaines vignettes où SCOTT et EMMA combattent des dinosaures sont absolument ratées.
Après, ce n'est pas du mauvais travail, c'est juste un peu fade à mon goût et finalement sans grande originalité graphique. Heureusement que le scénario et l'histoire viennent remonter tout cela et en poussant le bouchon un peu loin, on pourrait comparer ce numéro à certaines histoires pré ou post grands évènements des X-MEN, comme ROMANCE (Claremont/Smith) qui se passait juste avant le retour du PHENIX NOIR, l'histoire de XAVIER et JUBILEE juste après X-CUTIONNER'S SONG ou encore le numéro concernant SCOTT et NATHAN avant le mariage de ce dernier et JEAN (Lobdell/ Romita jr).
Moi j'adore ce genre de récit, où il n'y a pas de grandes menaces, d'évènements inter planétaire, et où l'ensemble du casting respire et fait le point, quand c'est écrit avec humanité, comme BRUBAKER sait si bien le faire, mon petit cœur de midinette s'emplit de joie.
Dommage que le graphisme gâche un peu le sentiment général.
et demi


LES EXTERMINATEURS

(Simon Olivier / Tony Moore)

J'attendais beaucoup de cette série qui avait de bonnes critiques même si le ton assez léger et l'humour provocateur n'est pas habituellement ma tasse de thé.
J'ai été extrêmement déçu, de bout en bout.
Disons le clairement, ce n'est qu'une pâle copie des récits que l'on a pu lire il y a dix ans, comme PREACHER pour le ton et les scènes gore, et c'est un peu dommage. Le scénariste SIMON OLIVIER joue le crade et le gluant à chaque page, agrémentant ses dialogues de PUTAIN, MERDE, CHIER pour faire plus " rigolo " et beaucoup plus " adulte ".
Le pitch est pourtant intéressant, une entreprise d'extermination de bêtes et insectes en tout genre, confronté à des cafards qui prennent peu à peu une conscience, ce qui permet de relancer la fameuse guerre entre les hommes et les insectes. C'est comme ça que c'est vendu sur la jaquette, mais à l'intérieur il n'en est rien.
Personnage principal absolument pas développé, et c'est pourtant sur lui que tout repose car le cast secondaire est absolument vu, revu, cliché et sans intérêt. Le collègue de travail obsédé qui ne pense qu'à se faire des nanas tout en s'injectant de la drogue, la copine ambitieuse qui couche avec sa patronne pour avoir une promotion, l'autre collègue bizarre et un peu mystique…bref, rien de nouveau à l'horizon et aucun de ces personnages n'arrive à éveiller quelque intérêt en moi. Ah, le running gag c'est aussi de mettre la scène la plus gore possible dans chaque des épisodes…pourquoi ? Ben parce que c'est fun, pardi ! On vous l'a pas dit, déjà, que c'était sensé être fun et gore ? Ben voilà…donc après un gars qui coupe en deux un raton laveur à mains nues , une vieille avec des escarres, rien ne nous est vraiment épargné sans qu'il y ait la moindre once de justification.
C'est rigolo, c'est tout, et si t 'as pas compris ça, c'est que tu mérites pas de lire du VERTIGO, hein , parce que c'est ça quand on écrit du VERTIGO! Pas chez moi.
Autant sur certains titres, les scènes gores sans intérêt étaient agrémentées d'une histoire qui correspondait totalement à l'ambiance (PREACHER, encore une fois) ; autant ici, le scénario est complètement confus, SIMON OLIVIER se livrant à un mélange des genres totalement brouillon et à mon sens complètement bâclé. En quelques pages sont entremêlées des histoires de résurrection égyptiennes, de produit chimique rendant les cafards surpuissants, de complot industrielo-gouvernemental, et de magie noire…. Que faire avec tout cela ? C'est comme si OLIVIER essayait de mettre tous les ingrédients possibles et tous les clichés imaginables pour justifier une récit qui n'a finalement pas de sens.
Cela part vraiment dans toutes les directions, et le lecteur se perd complètement dans les méandres d'un récit qui n'est finalement rien de plus qu'un alignement de scènes dégueulasses avec des dialogues orduriers. L'impression générale : il ne sait pas où il va !
Tout a déjà été fait, et on s'aperçoit tout de suite que malgré un pitch assez prometteur, n'est pas GARTH ENNIS qui veut.
Les dessins sont à la rigueur le seul point positif du truc, TONY MOORE livrant une prestation tout à fait correcte.
On va encore une fois nous faire le coup de " c'est une histoire qui ne laisse pas indifférent ", et bon, je suis peut être passé totalement à côté, mais en attendant, j'ai trouvé ça sans aucune originalité dans l'exécution. Je n'ai pas franchement l'habitude d'arrêter immédiatement un comics sans lui donner une chance, mais là, je n'irai pas plus loin. Pour pouvoir se permettre de la provocation gratuite, il faut déjà savoir écrire une histoire et mettre en place des personnages, ce qui n'est pas le cas ici. EXTERMINATEURS est un peu à PREACHER ce que SAW 2 est à l'EXORCISTE.

Un cliché sur pattes…qui se prend au sérieux en plus.



Heureusement, arrive le dernier TPB MANHUNTER

MANHUNTER TPB 4 : UNLEASHED

(Andreyko / Pina / Riggs)

Volume regroupant les derniers épisodes de la série, on replonge dans l'univers de KATE avec bonheur et certainement un peu de tristesse.
J'avais été beaucoup moins emballé par le TPB précédent, qui donnait une impression de vite fait, de bâclé, surtout dans ses derniers épisodes. Et c'est bizarre de voir que véritablement, il y a eu un creux dans la série, puisque les deux/trois premiers épisodes de ce volume renvoient exactement à la même impression. Andreyko construit depuis un sacré long moment l'histoire de SWEENEY TODD , qu'il va résoudre en deux temps, trois mouvements le temps d'une bataille assez commune et surtout très fade à l'intérieur d'un bar.
On se demande bien à quoi est due cette baisse de qualité ? Peut être parce que le scénariste ne savait pas si sa série allait perdurer ? Il a essayé de bâcler toutes ses intrigues ? Bref, quoiqu'il en soit, les premiers épisodes sont un peu décevants. Arrive alors WONDER WOMAN , et on va retrouver tous les fondamentaux de MANHUNTER pendant un trés long arc qui nous emmènera jusqu'à la fin de la série.
DIANA, en procès avec le gouvernement (elle a tué l'un de ses agents, vous savez, MAXWELL LORD…) demande à KATE de la défendre. KATE accepte à la condition que DIANA l'entraîne et lui montre ses techniques de combat.
On revient dans une série plus orientée procès et personnages, avec beaucoup moins d'action et surtout un rebondissement énorme (la réapparition d'un BLUE BETTLE), qui permet de relancer le récit. Très joli épilogue à INFINITE CRISIS, Andreyko réussit à faire évoluer ses personnages en les caractérisant d'une manière intelligente au travers des évènements de ce crossover. Pourtant, le lecteur qui n'a pas lu INFINTE CRISIS et OMAC ne sera pas perdu, c'est là aussi l'un des tours de force du scénariste.
On voit aussi apparaître SUPERMAN, et le fait que WONDER WOMAN cache la manipulation mentale dont a été victime ce dernier est tout à fait justifiée : elle ne veut pas montrer que SUPERMAN est in,contrôlable.
Impeccable, on se prend immédiatement au jeu. La résolution est peut être un peu plus bateau, mais c'est en tout cas un arc splendide, 'un des meilleurs de la série.
Andreyko nous gratifie aussi d'une autre intrigue, totalement centrée sur la passé de l'agent CHASE et des anciens ennemis de son père. Pas grand chose à dire sur ce point de l'histoire, qui surfe sur les évènements décrits dans la série CHASE il y a quinze ans. C'est tout à fait correct et cela permet de faire une respiration entre les scènes du procès de DIANA.
Graphiquement, c'est impeccable, DC ayant eu l'intelligence de mettre des dessinateurs fill-in au style quasiment identique à celui du dessinateur principal, JAVIER PINA, de telle sorte que l'on a pas l'impression d'un changement de dessinateur. Une très jolie unité graphique donc, et mention spéciale à la WONDER WOMAN de JAVIER PINA absolument sublime.
C'est vraiment dommage de quitter KATE SPENCER, car MANHUNTER est vraiment une très bonne série, avec des personnages féminins terriblement bien écrit, ce qui est de plus en plus rare de nos jours, et qui a le mérite d'utiliser les évènements de l'univers DC pour faire avancer son point de vue.
Malgré un petit coup de mou entre la fin du troisième et le début du quatrième TPB, MANHUNTER est une série qui est totalement satisfaisante dans son ensemble, nous donnant de bons moments et créant un des personnages les plus forts de chez DC depuis une bonne dizaine d'années.
Je vous le conseille vivement.

Parce que c'est le dernier….


THE FLASH : FASTEST MAN ALIVE TPB 2 : FULL THROTTLE.

(Bilson-De Meo-Guggenheim-Waid / Adrian-Thibert-Kuhn-Diaz-Daniel-Kerschl-Churchill-Garcia-Bennett-Acuna)

Reprend les épisodes 7 à 13 de la série FLASH: FASTEST MAN ALIVE.
Après un relaunch totalement catastrophique, il fallait que DC fasse marche arrière. Je pensais qu'il était intéressant de voir comment on peut pulvériser une série en quelques numéros pour revenir à un statu quo.
Ce TPB, qui est repris en France dans un DC UNIVERSE HORS SERIE ce mois ci, est en fait composé de deux storyarcs :
Le premier , SPEEDQUEST, narré par les scénaristes habituels, qui met en scène un combat entre FLASH (BART ALLEN, INERTIA, la petite amie de BART et son père décédé. Autant vous dire que c'est très mauvais. BILSON et DE MEO réussissent le tour de force de rendre un personnage potentiellement intéressant complètement lisse, avec des méchants absolument pas définis et des seconds rôles transparents. On ne se rappelle même plus de ce qui se passe dans les épisodes précédents, et il n'y a même pas une seule scène pour sauver les deux épisodes, qui ne se concluent sur rien. Terriblement mauvais. En plus, il y a abondance de dessinateurs pour combler le départ de KEN LASHLEY (ou son retard), ce qui rend une impression catastrophique au niveau du graphisme, certaines planches sont totalement ratées et hideuses…. Une catastrophe totale.
Arrive alors MARC GUGGENHEIM, qui a réussi à faire une histoire de WOLVERINE assez intéressante durant CIVIL WAR, que les éditeurs de DC ont engagé en quatrième vitesse pour défaire tout ce qui s'était passé avant.
Rude tâche que de se servir d'une construction et de personnages totalement mal introduits pour finir un récit tout en le relançant. GUGGENHEILM fait alors ce qu'il peut, et sans être particulièrement transcendent, c'est tout à fait lisible. On a enfin un peu de dialogues, un peu de caractérisation et une histoire plus ou moins crédible. ON sent tout de suite que le but du jeu est de faire oublier BART ALLEN, et ce dernier va donc se lancer dans une course qui le mènera inexorablement vers une disparition de sa série. On sent dés les premières pages de l'arc que BART va y passer, et c'est effectivement ce qui se produit quatre épisodes plus tard.
DC a tiré le frein à main, BART meurt bêtement , WALLY resurgit du passé comme par magie, et voilà donc le nouveau FLASH prêt à rebondir dans les pages d'une toute nouvelle série. ON ne peut pas dire grand chose finalement de cet arc, qui essaye tant bien qu mal de réparer les erreurs des premiers épisodes et de donner une conclusion satisfaisante pour les éditeurs de DC COMICS. C'est pas vraiment une tâche facile, et même si cela sent le travail de commande à plein nez, GUGGENHEIM rend cela tout à fait correct. Aux dessins, c'est TONY DANIEL qui arrive ne régulier pour notre plus grand plaisir, puisque son travail est certainement le meilleur de tout le TPB. Si c'est très classique et plein de tics, c'est très lisible graphiquement et cela donne enfin une unité à la série.
Il ne reste plus qu'un épisode, celui qui va réintroduire WALLY dans la continuité DC, et c'est WAID qui s'en charge avec toute une pléiade de dessinateurs. Sans grand intérêt non plus, mais c'est déjà beaucoup plus efficace que ce qui a été publié précédemment.

Bref, cette série FLASH est quand même très intéressante et devrait être enseignée dans les école de comics car elle montre exactement tout ce qu'il ne faut pas faire éditorialement, scénaristiquement et graphiquement.. Des décisions irrémédiables vite jetées à la poubelle, une cohérence inexistante, un ballet de dessinateurs aux styles complètement différents et aux capacités assez limitées pour certains, des personnages sans intérêt et une intrigue totalement brouillonne.
Puis un bref revirement pour finalement appuyer sur le bouton RESET ! Disons qu'au moins, DC a remis les compteurs à zéro en essayant de donne rune cohérence, ils n'ont pas appelé MEPHISTO.
Un désastre total, même si GUGGENHEIM et DANIEL remontent un peu le niveau à la fin, disons qu'ils font ce qu'ils peuvent avec les contraintes que leur impose DC.
Uniquement si vous avez de la curiosité malsaine en vous

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