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Vieux 24/02/2007, 15h14
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Chapitre 14 : Captain America #288 (12/83), Mazes ! par J.M. DeMatteis / Mike Zeck / John Beatty, cover par Mike Zeck / John Beatty



Godwulf explique enfin à Captain America ce qui est arrivé à son monde : il fut au milieu des années 70 employé par la Brand Corporation, plus exactement par un de ses départements, le Nth Command. Ce groupe secret s'était consacré à la création d'un Nth Projector, un appareil capable d'ouvrir des portails sur des myriades de dimensions alternatives. Cette technologie est la pièce maîtresse d'un plan audacieux, Operation : Purge. Ce que la Brand et sa maison mère, la Roxxon, veulent purger, ce sont les super-héros américains ! Après des années de préparation, l'opération fut lancée en 1983 : dix équipes munies de Nth Projectors (Godwulf était dans l'une d'elles) attaquèrent les QG des Avengers, des Fantastic Four, des X-Men et des Defenders, et envoyèrent leurs occupants dans des dimensions hostiles et léthales où ils périrent tous quasi instantanément ! Une fois le gros des troupes éliminé, les super-héros individuels restants y passèrent à leur tour avec une facilité surprenante.

Roxxon peut alors tomber le masque et, à travers de multiples attaques, organise un coup d'état pour renverser le gouvernement américain ! Deathlok confirme que la Brand avait prévu de lui faire mener l'attaque sur Washington.



Cap sent dans la voix de Deathlok que son humanité commence à reprendre le dessus. Godwulf continue en expliquant qu'il a fallu des années pour emmagasiner assez d'énergie pour faire fonctionner les Nth Projectors, par la suite des moyens plus traditionnels furent employés. Et c'est là que ça a commencé à se gâter pour la Roxxon : le conflit s'éternisa, le nombre de victimes devint énorme, le coup d'état devint guerre civile… et aucun vainqueur net n'émergea.

Et le pire était à venir : le conflit se propagea au Moyen-Orient puis sur toute la planète, la situation devint incontrôlable. Quand une dizaine de villes américaines subirent des attaques militaires, on ne sut même pas avec certitude qui les avaient lancées ! Une évacuation de New York fut ordonnée, la panique qui s'en suivit tua plus de personnes que l'attaque elle-même.

Finalement des poches d'humanité s'organisèrent ici et là. Sur New York, les militaires prirent le pouvoir, avec des tas de groupuscules armés le leur contestant. Une menace pourtant émergea au-dessus du lot : Hellinger. Cap médite sur ce que les gens qu'il aime ont pu devenir dans ce monde quand Godwulf lui présente le groupe qu'il dirige, comprenant sa compagne, Iron Butterfly.



Les Redeemers faisaient tous partie des Nth Commandos, des mercenaires qui n'avaient pas réalisé les conséquences de leurs actes. Ils tentent de se racheter en luttant contre le chaos ambiant actuel. Godwulf briefe maintenant Cap sur Harlan Ryker, alias Hellinger : cet ancien chercheur pour la Brand était un génie de la cybernétique, c'est lui qui est à l'origine de la création de Deathlok. Après l'attaque sur New York, il se rallia aux militaires qui voulaient lancer le Projet : Alpha-Mech, la création d'une armée de soldats cyborgs. Mais Hellinger avait un maître-plan bien plus diabolique : déjà il s'est transformé lui-même en cyborg, il est maintenant plus machine qu'homme, et il veut remplacer les humains par une nouvelle race, homo-ascendant, à son image ! A cet effet, il a fait de ses nouveaux mechs des bombes au plutonium ambulantes, qu'il va disperser sur toute la planète avant de les faire sauter afin d'exterminer la race humaine !

Deathlok en profite pour demander à Godwulf pourquoi il l'a fait voyager dans le passé, puis envoyé son clone le chercher ? Godwulf voulait à la base uniquement soustraire Deathlok à la vue de Hellinger, et quand il a voulu le récupérer, une force extérieure l'en a empêché (Fixer et Mentallo, voir Chapitre 8). Puis il rencontra le clone qui cherchait désespérément à retrouver son original, persuadé qu'il était encore vivant, Godwulf lui donna l'occasion de vérifier sa théorie.

Deathlok a encore une question : pourquoi diable Hellinger voulait-il lui mettre la main dessus ? Parce que pour que les partisans de Godwulf aient une chance de réussir à redonner sa liberté aux USA, ils ont besoin d'un symbole ! Qui puissent inspirer les gens et leur redonner espoir. Deathlok ne veut pas y croire, Cap le convainct que c'est la vérité, il est bien placé pour le savoir ! Le clone n'a pas rendu à Deathlok que ses souvenirs, dans le lot il y avait aussi ses rêves et son humanité

Godwulf propose à Cap de le renvoyer dans son époque, mais cette Amérique est aussi la sienne, il la sauvera aussi, et le peuple aura deux symboles pour le prix d'un ! Hellinger espionne tout cela et attend ses opposants de pied ferme.



Sur Earth-616, c'est l'aube chez Bernie et Steve n'est toujours pas arrivé. Elle comprend qu'il doit sûrement sauver le monde, mais pourquoi est-ce que ça devait arriver ce soir là ? Nomad lui a passé la nuit à discuter avec la fille qu'il a sauvée, ils commencent à s'embrasser et…



Hellinger trouve grotesque l'idée que Deathlok et Cap puissent passer pour des "talismans mystiques", c'est si primitif ! L'homme a investi un univers régi par la logique et l'a transformé en chaos, si la planète doit survivre c'est aux mains d'une race qui vénère l'ordre et la rigueur.

Godwulf sait que Hellinger est sur le point de faire sauter ses alpha-mechs, il faut agir tout de suite et attaquer sa base. Les Redeemers la prennent d'assaut à bord d'engins volants, Hellinger envoie contre eux des drones.



Les Redeemers parviennent à atterrir près de la base et pénètrent dedans, une trappe s'ouvre et ils se retrouvent au cœur d'un labyrinthe géant. Au fur et à mesure qu'ils progressent, des Redeemers sont neutralisés deux par deux. Ca ne semble pas émouvoir Deathlok, son humanité regagnée a l'air d'avoir disparu. Seuls Deathlok et Captain America arrivent devant un gigantesque Hellinger.



Pour Hellinger, les autres humains ont encore des doutes et seront "remodelables", Captain America lui doit être détruit, une tâche qu'il confie à… Deathok ! Ces idiots auraient pu réaliser qu'en se rapprochant autant de Hellinger, celui-ci pourrait reprendre le contrôle de l'ordinateur de Deathlok qu'il avait lui-même créé Ce problème résolu, Hellinger se concentre pour activer la phase finale de son plan. Cap lui se demande pourquoi il est encore vivant, le laser de Deathlok aurait du le couper en deux : c'est parce que le cyborg lutte contre le contrôle de Hellinger et parvient à s'en libérer ! C'est alors un jeu d'enfant que d'abattre Hellinger en lui tirant dans le dos et de détruire tout son équipement.



Le labyrinthe libère les Redeemers capturés, Godwulf et Deathlok peuvent savourer leur victoire. Sans Hellinger, il devrait être plus facile de refaire des USA un pays libre.



Il faut donc tirer un grand coup de chapeau à De Matteis, certainement sous l'impulsion de Gruenwald, pour avoir rassemblé toutes les pièces du puzzle Deathlok et avoir rendu son histoire cohérente On ne reverra pas ce Deathlok et Godwulf avant une dizaine d'années. Un nouveau Deathlok apparaîtra bientôt, mais ce sera celui de Earth-616 ! Un peu de patience, son histoire sera chroniquée dans quelques années. En attendant, dans le prochain épisode, Cap doit empêcher Operation : Purge d'avoir lieu à son époque !
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