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Jack, je ne comprends pas bien ce à quoi tu réponds, en vrai, là, t'as des choses sur le coeur semble-t-il.
Le manque de professionnalisme est certe dans l'annonce de rythmes innapliccable, si j'étais actionnaire (voire des fois vendeur), je serai mécontent, moi je ne suis que lecteur, ça ne me fait qu'un zut d'une impatience enfantine. Mais les moments où j'ai l'impression que l'industrie reste "semi-pro", c'est quand on trouve normal de changer d'encreur voire de dessinateur en cours d'histoire. Sinon, des flims, des disques, des bd, des rendez-vous qui sont annoncés à une date et sortent plus tard sont habituels, et quelque part font le charme de l'oeuvre, voire de la fille.
Le professionnalisme de ces salariés est de rapporter des thunes à leur boite, qu'à une époque ça ait voulu dire torcher 22 planches par mois est vrai, ce n'est plus le cas aujourd'hui, quels sont les titres qui ont fait sortir le mainstream de sa ringardise et des ventes médiocres? Ultimates, All-Star, Astonishing et co sont ceux qui dépassent les 100.000 exemplaires qui semblaient être le maximum faisable il y a quelques années et qui restent lisibles dans d'autres formats car il n'y a pas de changement de dessinateur en cours d'histoire. Le manque de professionnalisme de ces gars a fait du bien à la respectabilité du mainstream.
l'exemple reste toujours le même, DKR et watchmen, les oeuvres qui ont donné une respectabilité au genre et sont grace aux collections deux des comics de superheros les plus vendus et lus de l'histoire étaient au fur et à mesure de leur publication, très très très en retard.
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