La moisson :
Jesus Merino –
Barry Allen aka The Flash as The Black Racer (Darkseid War)
Commission
200 euros
A4
Julian Lopez –
Batman & Superman
Commission
185 euros (95 euros le personnage, 45 euros le personnage supplémentaire et 45 euros le décor)
24x32
Kevin Maguire –
Blue Beetle
Pin-up
210 euros
A5
(en précommande cela m’aurait coûté 300 euros, j’ai bien fait de miser sur un probable portfolio avec de personnages déjà faits et je me doutais qu’il y aurait du Bwahaha ; il avait aussi des vignettes en N&B plus petites à 135 euros mais je voulais mon Ted)
Evidemment, tu paies une fois de plus la renommée de l’auteur et/ou son actualité.
Le « moins » cher est le plus « réussi » mais j’adore mes 3 dessins tant ils reflètent parfaitement le style de l’artiste et le(s) personnage(s) dessiné(s).
Sinon, très chouette festival, les néerlandais sont sympas et très disciplinés.
Pas de fouille à l’entrée.

Pas trop de queue voire pas du tout dès 12h : arrivée à 8h pour une entrée prévue à 9h (mais 9h10, pas 1 salon n’ouvre à l’heure

) avec le Fast Pass qui n’a servi à rien car tous les auteurs et artistes sont arrivés à 10h. Les 1ères autres personnes pour les comics sont arrivées un peu après l’ouverture officielle. Se lever tôt et payer plus cher pour rien, toujours un plaisir (surtout en ayant précommandé les dessins), outch…
Les auteurs et artistes ont été des crèmes : pas de signatures payantes (Ron Marz faisait payer 10$ aux USA il y a 2 semaines la signature) et toujours disponibles. Ca se sentait qu’ils étaient contents d’être là, en plus ils n’étaient pas isolés du reste de la convention. Limite, j’aurais dû en ramener plus tant ils signaient tout.
James Robinson qui était la raison de ma venue a tout signé en 1 fois (plus de 10 minutes) alors que j’étais le 1er pour lui : j’ai bien pu discuter avec lui. En plus, il était à côté de Jesus Merino, ça permettait d’élargir les échanges.
Tom Grummett et sa femme m’ont reconnu (bon 3 fois en 5 ans, ça aide ^^).
Si l’affiche niveaux scénaristes est du même acabit la prochaine fois (les boules d’avoir raté Kurt Busiek venu il y a quelques années à ce festival), pas de raison de ne pas y retourner.