Avec le retour du genre horreur c'est aussi le retour des histoires self-contained.
Depuis plus de 20 ans et la Bendisation des scénarios, les récits étaient dilués à l'extrême. Enfin la tendance s'inverse avec des histoires de 6 pages maxi, et jusque 2 minimum.
De plus, si le genre horreur revient en force c'est qu'il est plus à même de traiter de sujets contemporains que les super-heros.
Walking Dead a réaffirmé la force du genre pour traiter du sociétal, et de nos jours c'est ces anthology ou des titres comme Ice Cream Man qui permettent une photographie de notre société, bien plus que les X-Men ou Superman.
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